• Chapitre 12

               Chapitre 12: trahison

    -Debout c’est l’heure ! C’est la rentrée ! Aller on se dépêche ! Et puis hier tu m’as promis que tu me dirais pour quoi tu es partie, alors je t’écoute !
    -Je suis partie pour te laisser seule avec tes amis, où et le mal à ça ?
    -Je sais que tu vas à la plage quand tu es déprimée ! Si tu crois pouvoir me mentir !
    Cela ne servait à rien d’essayer de lui cacher la vérité, elle me connaissait trop bien. Je respirais un bon coup et puisait dans mes dernière réserves de courage, je relevais la tête avec défit.
    -Bien tu as gagné mais ne viens pas te plaindre si la vérité ne te plaît pas ! Je pensais que comme tu avais retrouvé tes anciens amis je serais relayé au second plan !
    -Et moi je pensais que tu me connaissais bien toi au moins, mais visiblement je me suis trompé.
    Elle avait parlé d’un ton si sec, si froid jamais je ne l’avais vue comme ça. J’étais une idiote, cette fois je venais réellement de la perdre, plus rien ne sera comme avant. Elle s’en alla sans même m’adressait un regard. Et c’est là que je constatais soudain qu’elle était déjà prête. Elle devait être très excitée à l’idée de retourner dans son école, de me présenter à ses amis. J’avais tous gâché. J’entrais dans une grande détresse. Je ne pus m’empêcher de pleurer. Je sentis des mains sur mes épaules, celle-ci fourmillaient. Je n’eus pas besoin de me retourner, je savais que s’était Ikuto. Je me réfugiais dans ses bras. Mon corps était emplit d’une douce chaleur, mais ma tristesse était trop grande j’avais besoin de plus. Je fermis les yeux pour l’inciter à venir déposer un baiser sur mes lèvres. Il s’exécuta. Nous échangeâmes donc un baisé qui me transforma en lave en fusion. Non, aucun mots ne pouvait et ne pourra ressentir ce que je ressentais, la seule chose que je pouvais dire c’est que c’était la meilleure sensation au monde. Mes s’enfuirent dans ses soyeux cheveux désordonnaient. Et là la porte s’ouvrit. Ikuto se volatilisa me laissant seule sous les regards haineux de Yatsuki et Kilari. Elle avait tout vue. Ikuto était en danger par ma faute. Je fus très étonné de voir Yatsuki pleurer. Elle se tourna vers moi le regard emplit de rage.
    -C’est donc pour toi qu’il m’a laissait tombé. Il est un bel idiot. Fais-moi confiance Asahi vous le regretteraient amèrement.
    Sur ces mots elle disparue dans le couloir, me laissant pleine d’appréhension. Kilari s’en alla. Elle devait vraiment être très fâchée pour me laisser seule dans ce moment-là.J'étais démontée. Malgré tout, je me préparais en vitesse et descendis en trombe les escaliers. Je ne pris pas e temps de manger, de toute façon je n’en avais pas envies, la boule qui s’était formée dans mon ventre me comptait complètement l’appétit. Je regardais ma montre, il me restait un quart d’heure. Je passais le seuil de la porte et courus tout le long du trajet, du moins jusqu’à ce que je percutais une fille encore plus petite que moi. Toutes nos affaires se rependirent sur le sol. J’accourus auprès de la fille.
    -Ca va je ne t’ai pas fais mal, je suis désolé je ne regardais pas autour de moi !
    -Ne t’inquiète pas je vais bien. Et je suis aussi fautive que toi !
    Elle m’adressa un sourire rayonnant. Elle était trop chou ! Ses cheveux noires qui lui allaient jusqu’en dessous des épaules étaient légèrement attachaient par un petit nœud de chaque côté. Elle avait grands yeux bruns en amandes qui brillaient de joie de vivre, une frange les encombraient un petit peu. De belles fossettes se formaient lorsqu’elle souriait. Je restais un moment stupéfaite puis repris mes esprits et l’aidais à ramasser nos affaires en silence. Puis quand ce fut fini je le questionnais.
    -Dis-moi tu vas à quelles école ?
    -Je vais au collège.
    Ca semblait impossible elle était si petite, elle avait l’air si innocente, non angélique était le mot. Elle ne semblait pas vexait pour le moins du monde au contraire elle éclata d’un rire cristallin.
    -Je suis désolé…
    -Ce n’ai pas grave tout le monde se trompe ! A oui et enfaite je suis en 4°, au collège où vont des artistes !
    J’étais bouche-baie, encore une fois quant à elle, elle rit encore.
    -Allait vient dépêchons nous, tu es aussi dans ce collège?
    -Oui,j’y vais aussi.
    Nous allâmes donc en cour. Arriver devant l’établissement nous dûmes sonner pour pouvoir entrer.
    -Tu es en quelle classe, moi je suis en 4B.
    Je regardais le mot sur lequel il y avait mon emploi du temps et ma classe. Et oui il n’y a que moi pour ne pas savoir dans quelle classe je suis alors qu’il y en a seulement deux. Je souris.
    -Je suis avec toi !
    La grille s’ouvrit, nous allâmes chercher un billet de retard, puis nous allâmes en anglais. La fille dont j’avais complétement oublié de demander le nom toqua. Une femme d’âge mure à l’air strique nous ouvrit.
    -Voici donc la nouvelle élève et mademoiselle Akira Kuruki toute deux en retard de vingt minutes, votre explication ?
    Je ne vis qu’un moyen pour nous en sortir un en seule morceau. Je lui expliquai la situation dans un anglais parfait et tout ça sans la moindre faute et avec des phrases complexes et détaillées. Puis Akira et moi lui servîmes notre plus beau sourire. La prof était émerveillée.
    -Mais où a tu appris à parles anglais comme ça ?!
    -Et bien j’ai passé la moitié de ma vie en Europe, ma mère et à demi française et à demi anglaise quant à mon père il est japonais.
    -Je suis ravie de t’avoir dans ma classe, entre présente toi !
    Et voilà ce que je redoutais était arrivé, j’allais devoir me présenter. J'avais le ventre noué, les mains moites et tremblantes.
    -Bonjours je m’appelle Asahi Irigawa.
    -Et bien Asahi va donc t’assoir à côté d’Hiroto !
    -Hiroto !?Hiroto ! Mon ami !
    Je courus jusqu’à la place d’Hiroto tout en m’exclamant :
    -Tu sais que je t’adore !
    Je m’accrochais au bras d’Hiroto toute en me frottant contre lui. Il commença à secouer son bras.
    -Non mais lâches-moi ! Faites quelle que chose !
    -Jamais ! Disais-je avec un grand sourire.
    Kilari se leva et déclara :
    - Excusez-la, quand elle est très nerveuse il lui arrive de faire des crises. Normalement un soupe bien chaude lui remettra les idées en place.
    -Bien Kilari emmène la chercher une soupe au distributeur.
    Elle s’approcha de moi me tendis une main et disait :
    -Aller viens !
    -Hiroto et à moi tu ne l’auras jamais !
    Je me mis à grogner et reserai jalousement son bras. Elle soupira et partit.  Akira vient chez moi et affirma :
    -Tu sais une femme doit se faire désirer si tu colles trop à Hiroto il ne voudra plus de toi !
    Elle avait dit ça si gentiment que je suivis son conseil. Kilari arriva quelques minutes plus tard. J’étais rouge de honte mais au moins j’étais lucide. Elle n’en revenait pas, jamais elle avait réussi à me calmer sans soupe. Son regard parcourait la classe à la recherche de celui ou celle qui a réussi cette exploit. Sans la regardais je murmurais :
    -C’est Akira qui m’a aidé…
    Elle se tourna vers la petite aux cheveux noirs. Elle était presque agressive lorsqu’elle la questionna :
    -Comment à tu fais ça ? Tu es une sorcière où… !
    Kilari fut coupé par le rire angélique d’Akira.
    - Les sorcières n’existent pas ! Il m’a suffi d’être gentille, de la rassurer. Rien d’extraordinaire !
     Elle avait dir ça toujours avec le même sourire éblouisant.C’est vrai que quand on compare leur deux technique, et puis on ne peut dire que Kilari était douce…Pensais-je en me remémorant la façon dont elle m’avait secoué. Je me branchais sur celle de Kilari pour savoir pour quelles raisons elle s’est énervée sue Akira. Ouai les sorcières n’existent pas, tu devrais demander à ta nouvelle amie, pff pimbêche ! Alors là je ne m’attendais pas à ça, oh Kilari comment en étions nous arrivées là ? Pendant toute la journée je me fis remarquer par les professeurs grâce à mon intelligence. Mais entre Kilari et moi rien ne s’arrangé au contraire, comme je ne connaissais personne je restais avec Akira ce qui l’énervait encore plus. Je décidais donc de laisser un mot à Hiroto afin qu’il le donne à Kilari. Je contais dormir chez Akira por ne pas la déranger d'avantage. Mais arrivais devant la maison de ma nouvelle amis je put constater que deux limousine était garé à quel que pats de l'entrée. Une dizaine de gorilles en sortit. Le plus balaize déclara :
    -Vous êtes en état d’arrestation pour fréquentation de l’ennemi.


  • Commentaires

    1
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:11

    O_O HEEEEE ?????? SUITEEEE

    2
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:18
    3
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:19

    je pense que je la metterais avant la reprise des cours

     

    4
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:35

    Demain ? (désolée j'était partie a la douche mais comme chui malade a peine un pat et jété par terre)

    5
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:37

    aie! Oui ou après demain, mais ca devrait allé j'ai de l'inspiration pour la suite

    6
    Vendredi 1er Novembre 2013 à 20:46

    T_T , oki je vais me reposée  ^^ a + ou a dem

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