• Chapitre 13

                     Chapitre 13: La fin

     Voici le dernier chapitre j'esspère qu'il vous plaira et que j'ai réussis à faire passer des émotions! Et mettez cette music pendant que vous lisez la lettre:www.wat.tv/video/britney-spears-everytime-2003-31bov_2ey1t_.html

    -Et si vous ne venez pas avec nous, nous nous en prendrons à vos proches.
    Son ton sans aucun sentiment, tel un robot, me glaça le sang. Je me mis à trembler. J’avais une boule dans le ventre et la nausée. Je ne pouvais pas laisser la seule personne qui compte pour moi, appart Ikuto, aux mains de ses personnes sans cœur. J’avançais la tête haute retenant à grande peine mes larmes. Kilari  et Ikuto ne seront surement jamais que je suis morte ni pour quoi, se sera mieux insi, malgré tout cette pensé me fis l’effet d’un coup de couteau en pleine poitrine. La main d’Akira me retient. Je lui souris et lui effaçais tous souvenirs de moi. Encore une chose qui faisait mal, elle avait été si gentille avec moi et pour la récompenser je lui arrangeais ses pensées à ma façon ! Mais je n’avais pas le choix, je ne voulais surtout pas la mettre en danger. Malgré les conséquences qui n’étaient autres que ma mort et la perte de Kilari et Ikuto, je ne regrettais pas et je ne regretterais jamais d’avoir passé ses moments avec mon âme sœur, c’étaient les plus beau de toute ma vie. Mais pensées partaient dans tous les sens. Quand soudain une sombre idée germa en moi, elle me fit stopper net : S’ils savent pour moi alors, ils savent pour lui. Il va mourir. Il va trouver la mort à cause de moi. Cette évidence était bien pire pour moi que l’idée de la mort et encore bien pire qu’une mort lente et douloureuse. Même si je m’étais toujours dis que si l’un des deux âme-sœur meurt le pire rôle et pour celui qui vie. Je ne pouvais m’y résoudre. Il ne pouvait pas mourir, plutôt bruler en enfer que de le laisser perdre la vie. Mais, personne ne m’avait dit que la sentence était la mort. Mais si s’était surement ça je devais savoir ! Je m’adressais au ‘’ chef’’ des hommes qui me faisaient fasse :
    -Vous allez me tuer n’es pas ?
    -Tout dépend de toi, si tu nous donnes le nom de celui avec qui tu as faits cette entorse à la loi alors non, tu ne mourras pas.
    -Mais lui oui ?
    -Evidement.
    -Alors je ne dirais jamais rien !
    J’avais dit cette phrase si joyeusement que mon interlocuteur, que je croyais imperturbable, resta bouche bai, ce qui me fit sourire de plus belle. Je sautillais jusqu’à la voiture. J’étais tellement heureuse de savoir qu’il était inconnue des Arthuriens. Une fois entrer dans leurs limousines  un d’entre eux vint me bander les yeux, il me lia les mains, les jambes et me mis des bouchons dans les oreilles. Rien de tout ça ne peut m’en lever le sourire jusqu’à ce que la dure réalité me frappa dure : Plus jamais je ne le reverrais, ni lui ni Kilari encore moins ce père que j’avais retrouvé, Akira ma nouvelle amie je peux l’oublier, elle et tous ceux de l’agence Muranishi. Je ne nagerais  plus jamais et je  ne ferais pas de premier concert avec Kilari. Kilari… Nous étions fâchés ! Je ne veux pas mourir sans lui avoir parlé encore une fois, sans mettre réconcilié avec elle et surtout sans avoir dit encore une fois ‘’je t’aime’’ à Ikuto. Et là, isolé du monde entier, je laissai aller mes larmes. Après tout le bandeau les camouflera donc je ne briserai pas ma règles d’or : Ne jamais montrer ses forces ni ses faiblesses à l’ennemi. Nous roulâmes pendant ce qui me semblait une éternité. J’avais mal à la tête car celle-ci se cognait souvent à la vitre à cause des secousses fréquentes de la voiture. J’en déduisis donc que nous empruntions la plus part du temps  des routes non goudronnées et peu utilisées.  Ca plus toutes les précautions qu’ils avaient prise afin que je ne sache pas retrouver mon chemin ou même le décrire, me laissais penser que nous allions dans un lieu isolée, secret et fréquenté uniquement par les descendant d’Arthur. La voiture stoppa, je me cognais violement la tête. J’étais complètement sonnée, j’avais mal, j’étais triste, effrayée, la nausée ne partait pas mais je retins mes larmes. Les portières avant s’ouvrirent et se refermèrent. On ouvrit la mienne. Des bras me portèrent. Et bizzarement la personne qui me portait semblait être prévenante avec moi, elle me calla contre son solide buste et me pressa doucement, étrangement je mis sentais bien. Elle marcha un moment, changeant souvent de direction. Elle me reposa doucement à terre, ses doigts chauds parcoururent mon visage à fin  de m’ôter le bandeau. Une fois habituée à la lumière je découvris un couloir en pierre éclairé par des torches. Mais tous autour de moi des cellules ! Pendant que j’observais l’endroit où je me trouvais l’inconnu m’enleva les bouchons. L’inconnu ?! Je l’avais complétement oublié ! Je me tournais donc vers lui et le détaillais attentivement. C’était un grand homme bien bâti d’une cinquantaine d’années avec les cheveux grisonnant et des yeux bleus métalliques dans lesquels on pouvait voir de la compassion et de la compréhension. Des rides creusaient son visage qui dans ses jeunes années devait attirait beaucoup les filles. Il était impressionnant avec ses trois bonnes têtes de plus que moi, mais son visage m’était complètement inconnue, il ne faisait pas partit des hommes venus me chercher. Il s’agenouilla et trancha mes liens.
    -Je…euh…merci. Mais pour quoi être si gentille avec moi ?
    -Ma sœur aussi est tombée amoureuse d’un Armien. Elle morte décapitée. Et puis tu es si petite si frêle et tu sembles si innocente.
    Il avait dit ça avec une voix emplit de tristesse mais avec gentillesse. Je ne savais que dire. Devant cette gêne de ma part il me tendit une main, sans que j’ai eus besoin de parler, m’enlevant insi un lourd pois de mes épaules, je la saisis sans hésitation. Il me conduit à regret dans un cachot qui ne contenait que le minimum syndical : Un lit et des toilettes. Il y avait une fenêtre mais devant elle des barreaux qui semblaient incasable. Il y flottait une odeur de moisi et il y faisait froid, et moi qui n’était quand Jeans et en débardeur ! Bien sûr j’avais oublié mon gilet dans mon sac. Je frémis. Mon ‘’protecteur’’ enleva sa polaire et me la mit sur les épaules. Puis il tourna les talons.
    -Non attendez ! Je …J’aimerais vous demander deux choses !
    -Je t’écoute.
    -J’aimerais connaître votre prénom !
    -Taghashi.
    -Et bien merci Taghashi, merci pour tout et je suis réellement désolé pour votre sœur, ca devait être quel qu’un de bien.
    -Oui.
    -Et… deuxièmement es-ce que je pourrais envoyer une lettre à ma sœur !
    -Je vais vous chercher ce qu’il vous faut.
    -Merci.
    Il revint avec une plume, un encrier, une lettre et une feuille. Je n’avais jamais écrit avec une plume mais ça fera l’affaire ! Je commençai à écrire sans tarder, les mots jaillissaient plus vite que je ne pouvais les écrire :
                                                     Kilari,
    Au même moment où je t’écris cette lettre, le conseil Arthurien décide dans combien de temps je vais mourir. Je n’ai pas peur de mourir mais j’ai peur de tout ce que je vais manquer, jamais je n’aurais d’enfants, je serais toujours vierge, je n’ai jamais pris l’avion, je n’irais pas au lycée, jamais je ne réaliserais mes rêves et tant d’autre choses que je n’ai jamais faite et que je ne ferais jamais… Dans une poignée d’heurs ce sera finis. Le noir, le vide ? Ou toute autre chose ? Que m‘attends t’il là-bas ? Et encore tant de question résonne dans ma tête … Je devrais peut-être te dire pour quoi se sinistre destin ? Le baiser que tu as surpris ce matin même en est la cause. Mais jamais je ne le regretterais. Ne lui dit pas ce qui m’ai arrivé, je ne veux pas qu’il vive dans mon souvenir, dit lui que je suis tombé amoureuse de quel qu’un d’autre et que je me suis enfuis avec lui, ce sera plus facile pour lui d’avancer, et en plus il ne me connaît pas encore assez pour savoir que je ne ferais jamais ça. Et surtout ne lui en veux pas, toute est de ma faute je ne fais que réparer mes erreurs. Ne leurs révèle jamais son nom. Tu veux bien faire ça pour moi ? Si tu savais comme je l’aime et comme ça me déchire de ne plus jamais le revoir. Et je voulais te dire  que je t’aime, même si je ne te l’ai peut-être jamais dis. Tu as étais la première personne qui ai réussis à me faire sourire et en qui j’ai eus confiance depuis la mort de mon père. Tu es ma sœur. Et jamais même dans l’au-delà je ne t’oublierais, tu fais parties de moi. Sois heureuse. Je te surveillerais de là-haut. Vis tes rêves, profite de la vie à fond et ne vis pas dans le passé. Et aussi profite bien d’Hiroto, de tes fans, de tes amis, de ta famille et de chaque jour, ils sont bien trop cours... Apporte de la joie de vivre aux autres comme tu me l’as donné à moi ! Peux-tu dire à mon père biologique que j’aurais aimé le connaître et que je suis désolé de lui avoir parlé comme ça la dernière fois que je l’ai vue. Je te donne tout. Tu pourras à ton tour en faire don aux personnes que je connaissais si tu le souhaite. Tu sais je ne serais jamais complétement partie, dans ton cœur réside mon souvenir. Je t’aime Kilari pour toujours et à jamais. Et encore merci pour tout. Adieux, ma sœur chérie.
                                                                                                                                    Asahi.
    La lettre était mouillée à certain endroit mais comment faire autrement ? Je me dépêchai d’écrire l’adresse au dos de l’enveloppe. Et j’y glissais ma croix en or que je portais toujours autours du coup, dieu ne pourrais plus m’aider maintenant Je me levais et me tournais vers l’entrée de la cellule. Je m’approchai de Taghashi et lui tendis mon précieux butin. Il s’en empara.
    -Je compte sur vous.
    Il hocha la tête et s’en alla. J’étais tellement fatigué que je m’endormis au bout de quelles que seconds. Mon sommeil fut plein de cauchemar. Une main me secoua. Je me réveillais en sueur.
    -C’est l’heure.
    La voix était sans émotion. J’aurais aimé que ce soit Taghashi. J’aurais pu lui demander pour la lettre. Il l’avait posté j’en étais sûr.
    -Déjà !
    Je ne m’attendais pas avoir une réponse. Je me levais sans prêter attention à mon apparence. Et suivis cet homme. Nous arrivâmes dans une grande salle où au centre de la pièce trônée une guillotine. Une femme qui devait avoir une centaine d’années entama un discours dans lequel elle expliquait mon crime. Je ne l’écoutais pas, je étais déjà dans un autre monde : celui de mes souvenir et des regrets. A la fin de son interminable monologue elle m’appelait, mon cœur manque de se rompre, j’étais triste et contrairement à ce que je pensais j’avais peur. Je m’avançai. Un homme m’installa à la guillotine. La lame tomba, ma vie défila, une vive douleur, plus rien.
    Dans une chambre d’un sombre bâtiment, une lettre contenant une croix en or était à la poubelle…


  • Commentaires

    1
    Mercredi 6 Novembre 2013 à 14:48

    Dommage qu'il n'y ai pas eux de kilari, mais super^^

    2
    Mercredi 6 Novembre 2013 à 14:57

    merci, contante que ca te plaises!

    3
    Vendredi 8 Novembre 2013 à 18:42

    C'est triste quand même :'(((((((

    4
    Vendredi 8 Novembre 2013 à 19:30

    c'est fait exprès et puis je voulais écrire une autre fiction donc fallait que je la termine vite.

    5
    Dimanche 10 Novembre 2013 à 11:43

    Pk il a jetter la lettre T.T

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    6
    Dimanche 10 Novembre 2013 à 13:04

    Ben j'ai essayé de faire pleurer les gens qui la lise. J'ai réussis?

    7
    Dimanche 10 Novembre 2013 à 13:29

    Moi chui plus T.T que :'( 

    >_<

    Mais bon c'est dure de faire ressentir de la tristesse...moi je pleure plus facilement pour les histoire d'amour T.T

    8
    Dimanche 10 Novembre 2013 à 15:13
    9
    Dimanche 10 Novembre 2013 à 15:18

    gomen >;<

    10
    Vendredi 15 Novembre 2013 à 21:45

    j'ai adoré ta fic, j'ai adoré l'=a lire, l'écouté, et je t'est détesté pour la fin cruelle que tu à mis, la lettre à la poubelle, nn la c'étais trop injuste même moi qui suis abominable ne pourrais jamais écrire se drame que j'ai adoré lire et qui ma fais pleuré toute les larme de mon corp, c'étais trop beaux, les émotion de la lettre étais sublime, et je n'ai pus qu'aprécier se chédeuvre.

    PS: je suis désolé du retard pour le com's mais j'étais sur de l'avoir mis, il àà du ne pas se posseté simplement, j'ai dus relire se chapitre pour écrire se com's et en retiré tous se que j'ai adoré mais j'ai étais trop contente et trop triste de le refaire, tro contente car cette histoir est sublime et remplis de sentiment, trop triste car maintenent je suis de nouveau en pleur

    11
    Vendredi 15 Novembre 2013 à 21:50

    Mimikila c'est le plus beau com's que j'ai jamais lus! Merci! Et je suis contente d'avoir réussis à te toucher! Et je l'ai pas dis tout de suite même si je le voulais depuis le début. Il y aura un épilogue. Mais il faut en premier que je termine le chapitre en cour.

    12
    Vendredi 15 Novembre 2013 à 21:52

    dac ^^, j'ai hate

    13
    Vendredi 15 Novembre 2013 à 21:53
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