• Chapitre 5:De la tristesse à la haine. En route pour Eien!

    Chapitre 5 

         

    -Le principe et très simple vous aurez chacun votre propre chemin dans la montagne Eien…


    La montagne Eien, réputée pour la neige éternelle qui la recouvre entièrement et pour ses température glaciales allant de 0 à -20C°. Un vrai cauchemar…
    -Sur celui-ci vous trouverais un bout d’amulette semblable à celle-là.


    Elle tendit ces doigts fins vers les onze adolescents que nous étions, au bout de cela pendait au bout d’une cordelette un lys en bois pins qui redevenait progressivement un bouton. Un travail fin et minutieux. Madame Ushi tira sur l’amulette et un bout se détacha puis un autre et encore un autre, jusqu’à ce que le pendentif soit réduit en sept bout, puis elle tendit celui encore accroché à la cordelette.


    -Votre amulette représente en quelque sorte la nature de vous pouvoirs. Vous pourrez gagner un bout chaque jour, le premier l’aillant reconstitué sera nommé meilleur Seigyo. Bien sûr s’il vous manque un bout de l’amulette vous ne pourrez pas continuer. La première épreuve durera vingt-quatre heures, pas une seconde de plus et ceux qui ne l’auront pas ne pourront plus prétendre au titre.


    Cette femme prenait son temps entre chaque phrase, chaque mot, elle recoiffait ses cheveux, les tressés vérifié ses ongles et encore bien d’autre manie insupportable.


    -Bien et maintenant tendez les mains vers moi et dites « Umare Tori »


    Nous nous exécutâmes et une dizaine d’ « Umare Tori »retentirent et en une pluie d’étincelle scintillantes des petits oiseaux de couleur toutes différentes apparurent dans nos mains.

    Je baissais les yeux vers le mien. Et contrairement à ce que je m’attendais il n’était pas bleu mais jaune orangé. Le petit animal aurait parfaitement put tenir que dans une de mes mains pâle. Son pelage était soyeux. Je fus soudain prise d’un envie irréversible de le serré contre moi.

     

    Alors avec la plus grande douceur je le mis contre ma poitrine et caressa son plumage. Il couina, comme pour me rendre mon geste en parole. Je fus prise d’amour pour cette petite chose, pleines de vie et de sentiments et tellement plus lumineuse que je ne l’étais. 

     

    Puis mes yeux dérivèrent vers Zora et dans ses mains un animal semblable au mien mais tout son corps était recouvert de dense  plume émeraude. Il était fixé par Shirokuro le panda, le tout était une mignonne petite scène comique, d’ailler Zora leur souriait comme une mère à ses enfants.


    Celui d’Aisu était rose pastelle, une couleur magnifique, élégante et douce.
    Quant à celui d’Aka-kun il était comme un petit incendie sur patte. A cette pensée un sourire m’échappa et Aisu ne le manqua pas et me foudroya de son regard gelé qui me perçai en plein cœur, je détourné de suite mes yeux.


     Et il y avait aussi celui de Shiny d’une couleur grisâtre, comme la fumée qu’elle éjectée très régulièrement. Alors que je voulus porter mon attention sur ce des autres Madame Ushi reprit de sa voix enchanteresse captant toute la gente masculine, ainsi était fait son pouvoir :


    -Et bien on arrive à la fin des explications.


    Mon oiseau se libera de mon étreinte et voleta gauchement jusqu’à mon épaule où il se posa et où il enfonça ses petites serres dans ma veste en cuir.

    Il frotta sa douce tête contre ma joue. Puis une pensée me traversa malgré ma nervosité palpable.  Un nom. Il fallait que j’en donne un à cette petite bête. Hinode me vient immédiatement. Et je lui murmurai et lui roucoula doucement comme pour approuver. Et je ris oubliant presque tous mes ennuis, mais m’attira quelque regard surprit.


    -Maintenant pour une question d’équité ceux qui ont une résistance naturelle au froid lèvent leurs mains.


    Cette étape était inutile, nous savions très bien qui seraient les seuls. Aka-kun et Aisu.


     Mais il y eut trois mains et nous pas deux. Pleine de stupeur je vis Zora s’agiter une main tendue vers le haut plafond comme si elle tentait d’attraper quelque chose hors de portée. Ce fut à cet instant que je remarquais la boule de poils en larmes suspendue au plafond.

    Et mes yeux dérivèrent d’eux même vers Sukoru. Le beau et extraordinaire garçon aux traits fins, aux cheveux transparents qui lui frôlaient doucement les épaules et aux yeux presque aussi pâle affichait un sourire mauvais alors que ses yeux fixaient Shirokuro avec amusement et insistance sans même fermer une seul fois ses paupières encore plus pâles que ma peau. A côté de lui il y avait Bunshi, dont les yeux dorés étaient cachés par des lunettes et dont les cheveux à la couleur du sable, de la même taille mais plus sauvage que se de Sukoru éclata de rire.

    Mon cœur se remplis de haine, je ne pouvais tout simplement pas comprendre comment on pouvait pouvoir avoir plaisir à faire du mal à une personne aussi gentille et douce que Zora. Ca me déplacait complétement, surtout que ce n’était pas la première fois qu’il se comportait comme ça avec elle... Et puis une chose était sûre si je ne trouvais pas rapidement une solution madame Ushi allait sauter sur l’occasion est donner à la frêle Zora le chemin le plus dur et le plus long. Au fond de moi j’essayai de trouver de l’eau, c’était comme un appelle silencieux et les yeux fermait je laissais mon instinct me guider.

    Puis je réouvris mes papières, au-dessus de la place de Sukoru, sur le rebord supérieur de la fenêtre il y avait un vase, remplit par de fleurs sèches et fossilisées. Je levais mon avant-bras, mon coude sur le bureau de bois.

    Avec ma main je fis mine de tirer un fil. L’objet remua, avança et chuta. Il alla s’écraser en plein sur la tête de manieur de l’air. Celui-ci gémit et ouvrit grand ses yeux pâles tant dis que le liquide semblable à ses cheveux coulait le long se cela et allait gouter sur sa veste d’une époque lointaine, celle de Robin des Bois peut-être. Bunshi son soit disant ami éclata de rire. L’oiseau blanc de Sukoru voleta au-dessus de sa tête en piaillant à la mort.


     Sirokuro tomba et de justesse tomba sur la main ouverte et tendue de sa créatrice.
    Sukoru se leva brusquement en une volée de chaise.


    -Je sais que c’est toi p’tite garce ! Cria-t-il en me fusillant du regard.


    -Encore une remarque comme ça dans ma salle et vous ne pourrait plus participer au tournoi est-ce clair ? Menaça madame Ushi.


    Elle était volontairement passée à côté des utilisations de nos pouvoirs car dans le cas contraire elle n’aurait pas pu nous envoyer là-bas…


    -Ouais…


    Sukoru se rassit le visage rouge de colère.


    -Madamoiselle Shussan et madamoiselle Yuki, alors comme ça vous résistez au froid, j’ai hâte de voir ça !


    Madame Ushi éclata d’un rire sournois et nous défia du regard toute en savourant ce moment. Mon cœur se gonfla de haine, je fahis bondir et tordre le coup de ce monstre. Oui fahis car je n’avais aucun courage. Mais je me rendis soudain compte que ce que j’éprouvais pour cette femme n’était rien à côté des sentiments négatifs que m’inspirait Raito. Je sentais encore mon cœur me brulait, plus j’y repensais et plus mon il succombait au feu dévastateur de la haine et là assise à cette table je me promis que je deviendrais assez forte pour le battre et reprendre l’anneau que je lui avais donnait et que je lui reprendrais également au centuple le baisé qu’il m’avait donné.


    Je me vengerais, qu’importe le temps que ça prendrait.
    A ce souvenir mon cœur rata un battement. Je m’étais absenté quelque seconde à peine dans mes noires pensées que j’avais loupé le fait que Sirokuro était à présent dans les bras de Zora pressée contre sa poitrine pas très volumineuse, alors que son oiseaux était posait sur son épaule et caressais sa joue. Et je repensai à  Hinode toujours sur la mienne et je tendis la main et le caressa alors que je vis l’expression de Zora, sereine.


    Je respirai.


    Un cris retentit.


    -Vous ne pouvez pas faire ça !


    Aka-kun se tenait droit, les poings serrés et enflammés, les sourcils froncés, ses yeux noirs emplis de mécontentement, son beau visage plié par la colère et barrés de fou cheveux noirs, son torse parfait encore nu, devant une madame Ushi, pour mon plus grand plaisir, outrée. Une lueur d’espoir s’éveilla en moi
    -Elles ont levées la main c’est tout, et tu devrais te rhabiller, claque madame Ushi en regardant froidement ses yeux.


    Visiblement Aka-kun ne s’attendait pas à cette réaction-là, car son feu s’éteignit et il haussa les sourcils. Puis soudainement il poussa un cri de douleur et tomba sur sa chaise une main entre les jambes.
    Aisu redescendis avec habitude son pied, le visage tordu par la colère.


    -Non mais il se passe quoi dans ta tête !!! Et pour quoi tu défends cette fille !!! Cracha t’elle en me jetant un coup d’œil dégoutté qui au lieu de m’attristait créa un nouveau feu de rancœur en moi et comme les autres je le rangeai dans un coin de mon cœur pour le ressortir le moment venu.


    Entre des respirations difficiles Aka-kun tenta de répliquer.


    -Cette fille… est TA sœur…


    Aisu ouvrit à son tour grand ses beaux yeux et ouvrit la bouche pour répondre. Mais un violent et sonore coup retentit nous faisaient tous tourner vers sa provenance.
    Madame Ushi avait un poing flanqué sur son bureau et regarder ma sœur et…son ami ? Mon ami ?


    -C’est finit maintenant tout ça ! Vous allez partir MAINTENANT !!!! Hurla t’elle.


    Personne ne l’avait jamais vue comme ça, et tous nous étions bouche baie, du caïd Bosu à l’épaisse tignasse brune et aux vêtements de motard à la petite blonde Nomi en passant par l’insaisissable et l’impassible Suru et par son amie(ou enfin c’est ce que elle pensait) Aisu.


    Des bouts de papiers apparurent dans les becs de nos oiseaux. Chacun se saisis de la feuille jaunie et la scruta un long moment. Elle était composée de deux parties bien distinctes, d’abord le versant de la montagne Eien, sur lequel on indiqué l’altitude et l’emplacement exacte de mon chemin, puis la seconde montrait une vue en hauteur de l’endroit où je devais aller, un modeste zigzag beige.

    Mais je me doutais bien que la voie ne serait pas sans encombre. Il y avait aussi  l’échelle : un sur cent millième, et la rose des vents. Ainsi en plus d’arriver à temps et de trouver le bout de totem il faudrait trouver son chemin et ne pas s’en égarer. La frustration monta en moi. Je ne savais déjà pas me repérer avec une boussole alors sans… Je courais à la catastrophe.


    -Qu’attendez-vous, ça a déjà commencé ! Annonça madame Ushi.


    Et en un souffle Aka-kun disparut.
    Quel qu’un grogne. Bosu. Il sera sa puissante mâchoire halée en fixant rageusement de ses yeux bruns la carte. Ses petites boucles brunes  lui voilaient légèrement le regard. Il se leva brusquement faisaient valser se petite chaise, et franchi le porte d’un pas énervé. Ou plutôt démolit la porte. Il n’avait donné qu’un petit coup dedans mais elle avait volée en éclats.


     Shiny s’avança d’un pas lent et mou vers le troue que formé l’entrée, une minute après la sortie du colosse.
    Je louchais alors vers les places  de Sukoru et de Bunshi. Vide. La fenêtre à côté d’eux était grande ouverte  et laissait échapper une légère brise venant d’un ciel orageux.
    Quant à Aisu elle était penchée sur la table de Nomi. Celle-ci écrivait, avec le plus grand sérieux, les joues rouges, des notes sur la carte de ma sœur. Puis ma jumelle reprit son bien et hocha la tête avec supériorité er froideur. Alors Nomi se fendit d’un grand sourire éclatant dévoilant de petites dents blanches. Puis sa tête tomba en arrière et son visage afficha sa béatitude, ses grands yeux bleus-verts dans les vapes, recouvrent par des Rébanes noires montraient son bonheur alors que ses cheveux blonds, épais et ondulés tombaient derrière la chaise et qu’Aisu avait disparue.

    La colère monta en moi, tout ça lui ressemblait tellement… Se servir des autres pour parvenir à ses fins.
    Puis il y avait le sombre Akumu aux regards émeraude, aux longs cheveux de jais et à la peau encore plus pâle que la mienne, il avait disparu lui aussi, dieu seul sait comment.


    Il y avait encore  Suru adossée contre le mur, la carte roulée dans sa main. Ses cheveux blancs qui lui tombaient dans le rose pastelle de ses yeux froids et qui entouraient sa grande et fine silhouette jusque sous sa poitrine bien faite. Elle tournait dans ses doigts sa mèche châtain sans même la  regarder.

    Elle abordait une veste d’été noir à ceinture avec un jeans bleu foncé et des Convers aux couleurs s’inversées.
    Je ne me souciais plus des autres, donna ma carte à Hinode qui la prit dans son bec doré. Me levai. Avançais jusqu’au bureau juste devant moi et enlaça par derrière la personne qui était assise à cette place. Je voulais tout bonnement à mon tour lui donner du réconfort et du courage. Hinode s’envola et me tourna autour, prêt à partir, n’attendant plus que moi. Zora serra mes mains dans les siennes. Leur froideur me surprit, il devait pourtant faire plus d’une vingtaine de degrés dans la salle de classe, et puis elle était tout le temps chaude. Je la sentis trembler. Ca me fit mal. Très mal. Je voulais par-dessus tout qu’il ne lui arrive jamais rien, que son grand et magnifique cœur soit toujours à l’habit de la douleur.

    J’aurais tout donné pour, mais je n’avais pas pu l’empêcher… Je me fâchai contre moi-même pour mon incompétence et sera la rousse encore plus fort. Je sentis une goutte tomber sur ma main. Je la sentis hoqueter puis baisser la tête. J’étais…estomaqué… stupéfaite…horrifiée.
    -Je suis désolé…lui soufflais-je si bas que je ne savais pas si elle avait entendue.
    Je la sentis se dresser et elle me répondit aussi bas que moi :


    Tu ni ai pour rien, c’est juste que j’ai toujours eux horreur de la neige…


    Ma réponse fusa, conséquence de ma surprise, elle avait semblait si sereine juste avant, un masque ?


    -Mais pour quoi ?
     

    -Je…
     

     

    -Tu peux tout me dire tu sais.
    Elle enserra encore plus fort ma main.


    -………………..Je… me suis perdue…en forêt…quand j’étais petite et…
    Chaque mot s’emblait lui coûter et ce constat me fit mal.
    -…Il neigeait…et je ne sais pas comment mais je me suis endormis et à mon réveillait…j..j’avais de la neige dans la bouge, dans le nez et j’étais morte de froid, jamais je n’ai eus aussi mal…aussi froid…
    Quelqu’un s’approcha de nous. A l’unisson nous tournâmes la tête.

    Suru se tenais devant nous et nous tendait deux…tissues noirs ? J’étais un peu en colère qu’elle interrompe Zora dans un moment si difficile mais je ne laissai rien paraitre comme à mon habitude. On la regardait, elle nous le rendait et on resta à se fixait un moment puis elle brisa le silence :


    -Elles ne sont pas empoisonnées, allez prenez les. A moins que vous pensez que des polaires ne vous seront pas utiles en montagne, lâcha t’elle d’une voix froide.


    La surprise naquit en moi. Mais je n’hésitai pas plus et me saisis de son cadeau, tout comme Zora.

    Le visage de celle-ci se fendit d’en grand sourire.


    -Merci ! Mais comment…


    -A tu sus que on en aurait besoin et pour quoi nous aider ? Complétais-je avec recule.


    -Je le sais c’est tout déclara t’elle en haussant les épaules.


    Je clignai des yeux et quand je disparus elle n’était plus là.
    La polaire était noirs est très grande, du XXL. Je l’enroulai vite fait autour de mon bras toujours perplexe devant les raisons pour lesquels elle se retrouvait là. A trop réfléchir mon esprit revient vers Raito, comme dans un cercle infernal. Une bouffée de colère monta en moi et je le ravalai aussi tôt.


    Zora était doucement en train de secouer Nomi qui s’éveilla en sursaut, hocha la tête pour remercier mon amie et parti en courant. Suru avait disparut.
    Nous étions seules à présent, avec madame Ushi qui ne disait toujours rien mais qui semblait avoir pris une dizaine d’années.


    Je me tournais ver Zora et lui demandai :


    -Prête ?


    -Je crois…


    Elle refit cette tête abattue et je ne pus le supporter alors je me ruai sur elle et la chatouilla avec frénésie. Elle éclata d’un rire cristallin, bientôt suivie par le mien. Puis quand elle demanda grâce j’arrêtais le sourire aux lèvres et le cœur aussi léger que je pouvais l’avoir en ce moment. Puis prise d’une envie soudain je la serra dans mes bras à l’étouffer.


    -Je t’aime déclarais-je en gloussant comme une enfant.


    -Moi aussi ! Tu es enfin de retour, me répondis t’elle avec un grand sourire.


    -Oui.


    En tout cas je l’espéré, mais le positif c’était que la vraie moi était enfin sortie, juste pour Zora. Elle est la seule depuis la mort de maman à qui je montrais ce visage…
     

    Je lui tandis une main, elle la saisit. On franchit la porte, moi en sautillant et en rigolant, elle en souriant. Et nous savions parfaitement toutes les deux que l’autres avait achevé ses calculs depuis longtemps, nous pouvions donc partir le cœur léger vers notre destiné.

     


  • Commentaires

    1
    Dimanche 1er Juin 2014 à 14:45

    oh mais c'est trop bien, quelle biatch cte prof T.T J'adooooore :3 vite la suite!

    2
    Dimanche 1er Juin 2014 à 15:08

    Moi je l'aime bien!!!!XD

    Merci!!! Et je vais la mettre là mais elle est très très tr-ès courte!!!^^

    3
    Dimanche 1er Juin 2014 à 15:34

    Ah T.T

    C'est pas grave je veux la suite! :p

    4
    Dimanche 1er Juin 2014 à 17:27

    moi aussi je veux la suite, c'est très important , stp

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    5
    Dimanche 1er Juin 2014 à 22:12

    Oui je l'as mets!!!^^

    6
    Dimanche 1er Juin 2014 à 22:18

    Voilà je l'ai mis mais il est pas du tout comme l'ai autre!!!^^

    7
    Mercredi 4 Juin 2014 à 18:08

    Chapitre 7!

    8
    Mercredi 11 Juin 2014 à 17:29

    Chapitre 8

    9
    Lundi 16 Juin 2014 à 23:39

    Chapitre 9

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