• Merci d'être venu sur mon blog consacré à mes fictions!

    Dans mon autre blog il y a les autres chapitres de boulversée!

     


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  • Seishin aillor

    Il embrassa passionnaient  ses lèvres froides et inanimées. Il serra avec tendresse ses mains blanches et glaciales. Il caressa affectueusement ses cheveux d’ors devenu ternes. Il regarda avec nostalgie ses paupière qui cachaient des yeux brun emplit d’amour et de joie. Il écouta sa respiration lente et presque inaudible. Il l’appela d’une voix emprunte d’amour :
    -Mikan ?
    Il pleura devant son manque de réaction. Il regretta ses actions passé qui avait amenées cette frêle jeune fille sur ce lit d’hôpital qu’elle occupait depuis un an. Il se rappela la dernière journée qu’elle avait passée, bien vivante. Celle où il lui avait dit ses sentiments pour elle. Puis il avait embrassé à contre cœur une fille en faisant bien attention à ce qu’elle les voit. Il pensait qu’ainsi en provoquant sa haine et son méprit elle ne court plus de danger par sa faute. Mais Mikan partit en pleurant à la vue de cette scène, n’avait pas vue le balais qui trainait par terre… Il l’a fit trébuché et la jeune fille déchiré passa par la fenêtre. Et lui de là où il était, il entendit le fraqua du verre et le bruit sourd de la fille cognant le sol. Il s’était précipité dans le hall et se figea quand il vue par le troue, où était il y a quelque minutes une grande baie vitrée, l’herbe inondé par le sang et un corps sans vie. Puis il laissa échapper un cri de désespoir. Il reprit ses esprits et appela les professeurs et quand enfin on lui répondit il se rua en bas, dévalant à toute vitesse des centaines de marche. Une ambulance était déjà présente à son arrivé. Elle emmena la malheureuse à l’hôpital…Et tous les jours il venait la voir et accomplissait le même rituel, mais jamais elle ne donna signe de vie. Il y passait des heures, il lui racontait sa journée comme si elle pouvait l’écouter. Il la regardait plongeait dans son sommeil tout en constatant son immense beauté. Ses cheveux avaient poussé au fil des mois. Son corps se changeait petit à petit. Plus les jours passaient plus il l’aimait et en ce moment son amour était d’une puissance inouïe. Allait-elle se réveiller, le pardonner ? La main pale qui tenait toujours dans la sienne remua légèrement… 

    Je sais il est très court mais comme on dit l'enportance c'est la qualité et pas la quantité! 


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  • Chapitre 2: Cameron

    Pourquoi mon cœur bas si vite ? Pourquoi je ne peux pas arrêter de fixer ses yeux ? Pourquoi ai-je l’impression d’avoir était foudroyée à l’instant où je l’ai vue ? Une main se pose sur mon épaule, rompant l’enchantement. Je fis volteface. Je croise des yeux bleus. Thomas. Viens-tu me narguer ?
    -Je suis désolé pour la place mais Maya a tellement insisté et…
    Je le coupe, je n’ai pas la moindre envie de parler d’elle surtout que là je veux voir la personne à qui appartiennent ces yeux…
    -Oh c’est rien ! Et puis c’est normal que ta petite amie veule passer du temps avec toi !
    Je lui souris style je suis très heureuse pour toi alors que c’est tout le contraire. Mon cœur se gonfle de jalousie mais j’essaye tant bien que mal de garder un air enjoué.
    -Ma petite amie ?
    -Non mais qu’est que c’est que ce bordel ! Il y en a encore un debout dans cinq secondes et c’est trois heures de colle ! Un, deux, trois quarte, cinq ! Maxime trois heures, apporte-moi ton carnet !
    Et ça commence ! Et après on se demande pourquoi je la déteste ! Mais j’y pense…là…en ce moment… je suis à côté de lui… Mon cœur se met battre tellement vite que personne n’aurait pu compter ses battements. Je tourne légèrement la tête, ce qui me suffit pour voir des cheveux noir brillants et à l’apparence soyeuse. Ils sont coupés à la Justine Biber, d’habitude je n’aimais pas mais là… Son nez droit est tout simplement parfait. Ses yeux à demis fermés sont cachés par de longs cils, sa bouche, pulpeuses, roses. Il a une jolie fossette au menton. Son visage mat ne comporte aucune imperfection. Sous sa chemise blanche un peu trop grande on devint facilement des muscles sahiants. On aurait dit un dieu ou en tout ça un personnage irréel. Il me regarde. Je m’empourpre, et détourne les yeux, mais pendant les quelques  dixièmes de seconde où ils se  sont croisés j’ai ressentis quelque chose de nouveau et de visiblement très puissant. Mes poils s’étaient irisés sur ma peau, mon cœur avait fait un bond et dans mon ventre une douce chaleur s’était dissipée. Et pendant ce lapse de temps j’ai été heureuse, tout simplement…
    -Bon cette année vous n’aurez pas le droit aux blablas habituels…
    Mais mon bel inconnu ne connait pas les règles, je la coupe en levant le doigt.
    -Mais madame, et pour les nouveaux élèves ?
    -Tu es nouvelle peut-être ?!
    -Non mais…
    - Alors tais-toi !
    -Je crois qu’elle essayait de m’aider madame.
    Il a parlé…Sa voix elle est magnifique, enchanteresse. Et c’était pour prendre ma défense ! D’un coup je devins légère comme si tous les malheurs me passaient au-dessus de la tête, sans m’atteindre.
    -Et alors il me semble que tu es assez grand pour parler tout seul !
    -Oui madame, mais peut-être pourrait-elle m’expliquer le fonctionnement du collège ?
    Mais pour quoi a-t-il demandé ça ? Il s’intéresse à moi ? Arrête de rêver, regarde-le ! Il est parfait, et je n’exagère pas ! Même ce mot est bien trop faible ! Maintenant regarde toi. Je me tourne vers la vitre ou apparu mon reflet, un peu effacé. Mais cheveux ondulés que je sais fourchus m’arrive au niveau de la poitrine, celle si n’est composé que de deux petites bosses. Mais yeux, un mélange de bleu, de vert, de gris au centre jaune, sont bien trop petits. Mon nez légèrement aquilin et ma bouche fade à en mourir ne font que compléter se tableau raté.
    -Oui soit ! Et maintenant ne perdons plus de temps avec des bêtises. Les seules personnes qui peuvent parler c’est madame je sais tout et le petit nouveau au moment où celui-ci aura des questions sur le fonctionnement du collège !   Bon passons, je vais faire passer des chansons que vous devrez apprendre par-cœur et pendant ce temps je vous distribuerais les emplois du temps et les uniformes.
    Des cris outrés se fient entendre. Qui aurait voulu portait un uniforme ? Personne à par moi…Hiii ! C’est trop bien j’ai toujours voulus porter un uniforme ! Jusqu’à ce qu’Hugo pose une question qui lui ressemble bien :
    - Elles auront des jupes les filles ?!
    -Bien sûr.
    -Non…
    J’avais murmuré ce mot. Je déteste mettre des jupes. Je trouve mes cuisses trop grosses. Beaucoup de filles me considèrent comme maigre, et c’est vrai que derrière un slime on s’y tromperait, mais alors avec une jupe…
    -Tu n’aimes pas les jupes ?
    -Je les déteste, je ne suis pas alaise dedans et…
    Je viens à peine de comprendre que c’est lui qui vient de me parler ! Je devins subitement rouge. Madame Legroin nous foudroie du regard. Il sort une pochette bleu de son sac, en sort une feuille sur laquelle il griffonne quelque chose puis il me la tend. Dessus il y avait une belle écriture penchée et liée. Je m’empresse de lire les quel que mots : 
    -Je vois et sinon tu aimes faire quoi, tu as une passion ?
    Il m’écrit… Pour quoi il m’écrit ?! Ah pour quoi j’écris mal !
    -Je…euh…enfaite j’aime faire…du…du théâtre…
    - Ça ne doit pas être facile pour toi. Enfin vue ton caractère. Tu en as déjà faits ? Parce qu’honnêtement je ne te vois pas en faire.
    -Je n’étais pas comme ça avant…
    -Et pour quoi l’ai tu maintenant ?
    Je ne sais trop pour quoi mais j’avais l’envie irrésistible de tout lui dire, à lui, à cette personne que je ne connais pas, mais pour qui je…enfin… je crois que je suis amoureuse… Mais pas comme je le suis pour Thomas, non cet amour-là est bien plus fort je le sens ! Mais je ne veux pas l’écrire je chuchote donc :
    -Et bien tout a commencé quand j’étais en CE1, une nouvelle est arrivée. Je ne sais pour quoi mais à peine m’a-t-elle vue qu’une haine immense envers moi grandit en elle. Et un jour de printemps où j’étais dans la cour je portais une jupe et elle l’a baissé devant tout le monde. Sur cette culotte il y avait les télétubises et tout le monde c’est moqué de moi et depuis ce jour je…
    Je plaque mes mains sur ma bouche, non mais qu’est que je viens de dire ! Il va me prendre pour la pire des idiotes ! J’ai mal au ventre, j’ai envies de vomir…
    -Thomas Maurise venais chercher vous affaires.
    Dès que on prononce son nom c’est plus fort que moi, je me sens concernée…Il se lève et va au bureau, il se saisit d’un paquet et d’une feuille. Les chansons nous parvinrent enfin. J’explique donc à mon voisin que il faudrait les apprendre par-cœur pour la prochaine fois. Contrairement à la réaction surprise et outré à laquelle je m’attendais il se contente d’hocher la tête comme si s’était normal. Aïe, je n’ai pas écouté ce que sont les choses que madame Legroin nous donne et après c’est à moi…
    -Il s’agit de l’uniforme et de l’emploi du temps.
    Comment avait-il fait ? On aurait dit qu’il lisait dans mes pensées Elle m’appelle et je me lève, va chercher mes affaires. Je retourne à ma place et Madame Legroin appelle un dénommé Cameron Picardo. Mon voisin se dirige vers le bureau.  
    Les deux heures passèrent à grande vitesse, je me découvrais plein de points commun avec Cam, notamment la lecture et la natation. Je découvris également qu’il était très drôle puis vient la sonnerie accompagnée d’une inquiétude crée par la solitude certaine des quinze minutes de pause. Je soupire. Il me regarde, je rougie. 
    -Tu n’es pas heureuse de pouvoir sortir d’ici ?
    -Non pas vraiment Cameron…
    -Tu peux m’appeler Cam tu sais.
    -Oui, pas vraiment Cam, on va devoir mettre les uniformes et je me suis disputé avec mes amies à cause de Maya…
    -Et tu as peur d’être seule. Je serais avec toi jusqu’à ce que tu n’en aies plus besoin. D’accord ?
    -Merci…
    Je suis importante pour lui ? J’aimerais tellement que ce soit vrai mais pour l’instant je me contente d’être à côté de lui et de sentir son parfum de cannelle. Nous arrivons dehors et sans un mot nous nous séparons. J’entre dans les toilettes puis je me change dans une cabine. Je sors. Il y a une glace au-dessus des lavabos. J’ai changé et ce n’était pas à cause de la veste verte et de la cravate rouge. Mes yeux brillent et semble être plus grands, le rouge qui m’était monté aux joues à cause de la peur me donne un air fragile et innocent. Le sourire qui vient de se dessiner sur mes lèvres m’embellie  beaucoup. Et puis le haut de l’uniforme ne me va pas si mal que ça. Je sors et va dans le hall d’entrée. Sur le panneau d’affichage il y a l’inscription pour le théâtre. Je saisis un stylo écrit le M de Meyer mais je ne peux écrire plus… Je serre les dents et une larme perle au coin de mon œil. Je sens des bras qui me tirent contre un buste. Je laisse échapper un hoquet de frayeur. Mais je me calme immédiatement quand je sens une douce chaleur se rependre en moi. Cameron. Il me sert tendrement contre lui et là la tête nichée dans son cou, le nez remplit de cannelle je me laisse aller et fais sortir la frustration qui m’habite depuis cinq ans. Puis je commence à me rendre compte que je suis en plein milieu du collège et que n’importe qui pourrait nous voir et je sais aussi que des rumeurs vont courir. Je le repousse violement les yeux toujours embués de larmes. J’imagine bien ce qu’on aurait pu croire en voyant cette scène.
    -Emy se tipe t’a fait du mal !?
    Thomas ! Mais on dirait que tu t’inquiètes…
    -Non j’étais triste et il a essayé de me consoler c’est tout…
    -Toi si tu t’approches encore une fois d’elle je… !
    Cam le coupe avec un sourire cruel plaque sur les lèvres. Ca me fit froid dans le dos.
    -On dirait que c’est ta petite amie, or ce n’est pas le ca. Et tu es jaloux parce que je l’ai pris dans les bras.
    -Ne dis pas n’importe quoi ! Thomas a une petite amie et je le connais assez pour savoir que ça signifie quelque chose pour lui.
    -Je n’ai pas de petite amie !
    -Et Maya tu l’appelle comment ! Elle m’a dit que vous vous êtes embrassé ce matin même !
    -Oh ça ce n’était qu’un pari idiot. J’aurais tellement préféré que ce soit toi !


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  • Chapitre 3: Pour quoi?

    -J’ai parié avec Hugo et j’ai perdu mais depuis l’instant où tu m’es tombé dessus c’est comme ça je t’aime ! Et que ce tipe t’approche ça me rends malade ! Tu ne peux pas savoir comme je regrette de ne pas te l’avoir dit plus tôt !
    Je recule comme si il m’avait frappé. Tout mon joli monde nouvellement construit venait de s’écrouler. Et dire que s’il me l’avait dit deux heures plus tôt j’aurais été si heureuse…
    -Oh Thomas…
    -Je croix que vous avez des choses à vous dire. On se voit en classe.
    L’air détaché qu’il prit me brise, si seulement il y avait eu de la colère dans ses yeux… Oh le lâche il me laisse toute seule ! Il disparait de ma vue. Je me sens mal, j’ai les mains moites, la gorge nouée…
    -Je suis désolé mais…
    Je ne peux pas lui dire que je ne ressens rien sinon je lui mentirai et hors de question que je lui parle de mon amour pour Cam…
    -Tu as embrassé Maya ! Et puis je ne suis pas prête pour ça et… ! Je dois y aller à toute !
    Et à mon tour je sortis dehors. Et c’est seulement grâce à la mordure du froid que je me rappelle ma tune. Oh il fait beau mais je suis extrement  frileuse. Mes yeux se posèrent immédiatement sur lui, sans même que je le cherche. Mais il aurait sûrement mieux fallu que je ne le trouve pas. Me cœur se gonfle de jalousie. Il est entouré d’une vingtaine de filles de tout âge qui essaye de le charmer. C’était prévisible mais ce qui me fait le plus mal c’est le sourire amusé sur ses lèvres parfaites. Suis-je entrain de découvrir sa partie sombre ? Non je délire complètement… Ses yeux verts émeraude se posent moi et là il s’illumine d’un coup et se dirige vers moi. Mais ses traits devinrent inquiets. Oh non j’ai oublié de m’inscrire au théâtre ! Vite ça va bientôt sonner ! Je me détourne et cour jusqu’au panneau. J’entant des pas derrière moi, mais ils sont si rapides que ça en devient presque impossible… Cam surgi devant moi et me bloque le passage. Je laisse échapper un petit cri surprit. L’incompréhension me gagne, il était un dix mètres de moi ! Je sais que je ne vais pas très vite mais comme même !
    -Qu’est-ce qui ce passe ! Tu vas bien !
    -Oui j’ai seulement oublié de m’inscrire au théâtre et comme c’est que les quinze premiers qui sont prient…
    Je m’avance, pour moi la discussion est close. Mais visiblement ce n’est pas son ca, il me saisit le bras et m’attire contre lui. Je n’en peux plus… J’essaye en vain de le repousser, puis je commence à la taper faiblement puis avec plus de conviction, mais rien n’y fait il reste de marbre, je mords son épaule jusqu’à sentir un liquide chaud et poisseux se rependre dans ma boche. Le goût du sang me dégoute profondément, je l’ai mordu. Et la pour la énième fois aujourd’hui j’éclate en sanglot. Il fut déconcerté par ma réaction et moi je ne savais pas non plus pour quoi j’avais faits tout ça…
    -Que c’est-t ‘il passait ?! Tu lui as répondus quoi ?!
    -Je…je lui ai dit que je ne pouvais pas…
    Je le sens se décrisper. Il sent si bon, ses mains dans mon dos qui me sert, possessives. Le rythme de nos deux cœurs battant à l’unisson me ravie. La chaleur qu’il fait naître en moi me fascine et je l’aime tellement j’en veux plus… Mes lèvres deviennent brulantes. Il me murmure à l’oreille :
    -Je t’aime…
    Je m’envole. Les mots trouvent d’eux même leurs chemins.
    -Moi…
    Il pose une main chaude et douce sur mes lèvres grésée. Il me sourit visiblement amusé. Je suis si heureuse mais tellement troublée…
    -C’est mots sont trop important réfléchis s’y encore, tu n’es pas prête, après les avoir dit on ne peut pas faire marche-arrière.
    La colère et le soulagement  m’envahi brusquement. Il ne compte pas profiter de moi… Mais…
    - Comment oses-tu décider à ma place ! Et puis pour toi aussi c’est des mots importants !
    -Je t’expliquerais mais pas maintenant.
    -Mais… !
    -Tais-toi je te rappelle que tu dois encore t’inscrire au théâtre.
    Il se penche vers moi si prêt que mon nez efflore le sien, que nos souffles se mêlent et que ses cheveux me caressent le visage. Mon cœur bat si vite… Je brûle d’impatience. Il dévie sa trajectoire et vient embrasser mon front. Je suis d’abord étonné puis frustrée. Je laisse échapper un soupire de mécontentement. Un rire cristallin s’échappe de sa bouche. Il est encore plus beau quand il rit. Quant à moi je m’empourpre et me dépêche d’aller m’inscrire, les joues brulantes de honte. Puis il saisit à son tour le stylo en faisant bien attention attardé le contacte entre nos deux mains. La cloche sonne. Je suis encore bien trop gênée, je préfère monter seule mon beau Cam n’a pas encore finit d’écrire son nom. Et puis j’ai besoin de méditer à propos des événements étranges qui se sont produit comme sa rapidité, sa force et sa résistance et je ne peux pas réfléchir. Mais je l’ai mordu ! Mon dieu quelle débile  et je n’y suis pas allé de mains mortes, il doit avoir mal ! Je dois aller voir comment il va.
    -Je suis là.
    Je sursaute mais repense vite à mon objectif, j’aurais tout le temps de repenser à tout ça plus tard. Je soulève le col  de sa chemise. Que n’est pas ma surprise lorsque je ne découvre absolument rien…
    La journée passa, l’après-midi nous eûmes qu’anglais et on fut classé par ordre alphabétique. Dans la salle il n’y avait que des tables de trois. Et bien évidement Meyer est comprit entre Maurise et Picardo. En silence gêné s’installa même si Cameron n’en manqué pas une pour me toucher ou me parler en gros pour montrer à Thomas que je lui appartiens et je dois avouer que ce n’était pas si déplaisant. Je n’avais pas appelé mes parents car je savais bien qu’ils travaillaient et que soit je restais une heure en permanence soit je rentrais à pied chez moi. J’avais déjà essayé une fois en sixième et il faisait nuit quand je étais enfin arrivé à destination. Depuis je n’avais jamais réessayé. Et là tout de suite j’ai peur…
    -On rentre ensemble ?
    -Hein ?
    -Enfin si personne ne te cherche. Tu sais j’habitais dans cette ville il y a longtemps et je connais un chemin sympas  pour aller dans le village d’à côté qui est actuellement le mien et le tien si j’ai bien compris. Alors tu en dis quoi ?
    J’y ai bien réfléchis à midi et il n’y a qu’une explication possible… C’est un vampire. Il n’y a que ça qui puise expliquer sa blessure qui se guérit miraculeusement, sa force surnaturelle, j’avais beau essayer de toutes mes forces de me dégager il n’a pas bougé d’un pouce, sa vitesse, sa perfection et puis en anglais il était super bon… Mais s’il y a bien une chose que je ne sais pas c’est ce que j’en pense. J’ai toujours rêvé d’une vie où la magie serait présente, j’ai toujours dit ne pas comprendre les gens qui la repoussent dans les filmes ou dans les livres, mais tout est si différent maintenant que ça m’arrive. Tue-t-il des humains ? Ne suis-je qu’une proie parmi tant d’autre ? Quels moyens ai-je pour me défendre ? Quand il dit qu’il habitait ici il y a très longtemps il entend longtemps pour un humains ou pour un … Je ne parvins même pas à penser ce mot… Je devrais être morte de peur, mais non, je suis curieuse et je crois que je l’aime encore plus. Mais ce sera sans doute différent quand je connaitrais son régime alimentaire…
    -D’accord…
    -Il y a une boulangerie juste à côté et il parait qu’ils font de très bonnes choses…
    Une image noie sa si belle voix. Je le vois entrain de sucer tout le sang de la pauvre caissière, puis il me la tend et déclare d’un air amusé : tu en vue un goute ? Je secoue le tête puis crie comme un ictérique :
    -Non mais ça va pas !............Je……….j’ai pas d’argent…..
    Il me regarde comme on fixerait une bombe sur le point d’explosée, alors il a compris que je sais…

    Alors vous pensez qu'elle a résond? Que va t'il se passer et surtout vous préférez Cameron ou Thomas? Y aura t'il un triangla amoureux? En tout ca dans le prochain chapitre tous va vraiment commencer....


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  • J’ouvre les yeux, il fait noir. Où suis-je ? Qui suis-je ? Une lumière blanche et éblouissante nait soudain. Je cligne des yeux jusqu’à m’habituer à elle. Un ange se tiens devant moi. Alors ils ressemblent à ça… J’aurais sûrement dus être heureuse qui ne rêve pas de voir un ange, mais je suis triste, vide… Je regarde la petite fille blonde qui se tient devant moi, elle flotte au-dessus du sol grâce à d’immenses ailes blanches.  Elle est habillée uniquement d’une tunique, aucune chaussure à ses pieds pales. Elle me tend une petite main potelée. Je la saisis et l’enfant me relève avec une force qui ne peut lui appartenir. Elle me tire vers une porte blanche également, qui vient d’apparaître. J’ai peur, je tremble, je murmure toute en essayant tant bien que mal de ne pas bouger de ma place :
    -Où va-t-on ?
    -Dans ta nouvelle maison, me répondit le petit ange avec un sourire rassurant.
    -Pour quoi est-ce que je ne reste pas à l’ancienne ?
    -Il n’y a plus rien pour toi là-bas…
    -Qu’est-ce que ça veut dire ?
    -Il est tant pour toi de partir.
    -Pour quoi ne me réponds tu pas ?! Je me suis mise à crier comme si on venait de m’arracher mon plus précieux trésor sans la moindre explication.
    Je continue à hurler de plus belle, j’entendis quelque chose se briser puis le noir à nouveaux. On me secoue avec force. J’ouvre les yeux et tombe nez à nez avec une belle brun. Où est l’ange ? Cette personne, je la connais ! Kilari… Une foule de souvenir remonte en moi… Elle me dit d’une voix enfantine :
    -Debout c’est l’heure ! C’est la rentrée ! Aller on se dépêche ! Et puis hier tu m’as promis que tu me dirais pour quoi tu es partie, alors je t’écoute !
    Mais…

    Et voilà cette fois si c'est vraiment la fin! Alors qu'avez vous pensés de Boulversée?


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