• Chapitre 1.

     

    -Encore ta mystérieuse Tenioenai…..


    Ma sœur ne se trompait qu’à moitié, effectivement il était mystérieux bien trop à mon goût mais ce n’était pas « ma » Tenioneai, ni même « mon » Tenioenai …. C’est juste que je m’étais attaché à ce mec depuis qu’il m’avait sauvé la vie, attaché, non ce n’est pas ça, je n’arrive jamais à mettre le moindre mot juste dessus….

    Et puis je m’intéressais déjà à lui bien avant… Ou peut-être était-ce de la fascination dans laquelle se cachait en certain dégout et une miette de peur….. Oui il était différent et ça m’intriguais, contrairement aux autres Tenioenai de l’école Majikku il n’était pas triste d’avoir fait ce pour quoi il n’est pas un Seigyo, il n’avait pas de regrets, pas de colère, rien… J’avais entendus dire une fois qu’il pensait  que ça l’avait rendu plus fort. Je n’avais pas compris… Je ne parvenais pas à le cerner, même pas à le comprendre un peu. Et puis il était seul tout le temps, craint de tous… Et ça ne semblait pas le gêner au contraire, pour lui les autres était sûrement des boulés … Il était une personne violente toujours en quête d’un adversaire à sa hauteur…Alors pourquoi je pensais souvent à lui, il était loin de me ressembler mais… Je me sentis gênée, troublée et un nœud se forma dans mon ventre comme à chaque fois que je pensais à lui, j’avais pourtant voulus le haïr pour tout ce qu’il avait fait et qu’il ne regrettait pas le moins  du monde, mais alors pourquoi je n’avais pas réussis… ?

    Ce fut le moment que choisit Aisu pour interrompre le court de mes pensées et briser le silence :


    -Bon ok je t’attendrai à la lisière de la forêt Kuro, hors de question que je mette un pied là-dedans ! Elle frissonna et ses fins cheveux argentés remuèrent, une moue boudeuse se créa sur sa bouche et elle croisa les bras, et puis si tu es en retard je pars sans toi, je ne vais pas risquer de manquer l’occasion de me rapprocher de Raimu par ta faute, et surtout ne traine pas dans mes pattes !!!


    Ma jumelle m’envoya un regard noir et d’un coup son expression changea quand ses grand yeux gris se posèrent sur mon réveille.


    -Vite il faut que j’aille me préparer !!!


    Son cri suraigu envahis notre dortoir, elle virevolta un sourire plaqué sur son beau visage au trait fins puis en un instant elle disparut. La porte de la salle de bain claqua et je souris, amusé par la scène. A mon tour je regardais l’heure. Six heure trente. Les voitures qui emmèneront les  Tenioenai partent dans une heure ce qui me laissait le temps de me préparer.

    Je dépliais mes jambes, au part avant en tailleurs  et je descendis du lit du dessus d’un bond gracieux. Une petite douleur traversa mon corps quand j’atterris, je n’y prêtai pas la moindre attention, je n’esquissai même pas une petite grimasse. Je me retournais un instant pour regarder le lit super posée au bois blanc, dont l’un des étage étais décoré de poupées et de photos à l’effigie d’un garçon au cheveux pourpres en pétard, ainsi que d’un couvre lit aux motifs flocon, alors que l’autre était plus simple, sur un petit rebord derrière l’oreiller se tenait une petite pile de livres et la décoration de la couette faisait référence aux abysses des océans, cette couchette était plus ou moins mon refuge.

    Puis je me dirigeais vers une armoire également blanche et en sortit un robe à brettelle marine, avec un nœud au niveau de la poitrine et des collants noirs. J’enfilais rapidement le tout et rangeai la nuisette bleue que j’avais délaissé, puis je me plantai devant un miroir à pied discrètement posé dans un coin. Je défis mes couettes, libérant ainsi ne cascade de boucles bleues pastelles qui se termina sous ma poitrine pas très imposante. J’arrangeais vite fait le tout, améliora le positionnement de la belle robe légèrement moulante qui m’arrivait mi-cuisse, me saisis d’une fine ceinture noir et la sanglai sous ma poitrine. Puis je dirigeai mon attention vers mes yeux, plutôt petits et sans éclats, la seule chose que j’aimais chez eux c’était leurs couleurs, celle de l’océan que j’aimais tant. Puis j’effleurais ma joues, aussi pale que de la porcelaine, un soupire m’échappa, c’est vraie que cette couleur ne me plaisais pas…

    Mon doigt passa sur ma bouche d’un rose fade puis il continua son chemin sur tout mon visage aux traits même plus fins mais moins harmonieux que ceux d’Aisu. Puis je passais mes doigts dans la frange qui mangeait gentiment mes yeux et qui était étrangement sans volume. Et puis il y avait mon visage froid, indifférent. J’essayai un sourire mais me ravisa aussi tôt. Je me contentai donc de sortir mon pendentif en forme de goutte scintillante, qui ne me quittait pas depuis ma naissance, de sous ma robe.  Puis une fois que je finis de me contempler insatisfaite je gravis les barreaux du lit et fouilla sous mon oreiller bleu rembourré de plume, pour bientôt m’emparer d’un grand et fin anneau d’agent. Sentir son contacte me rassura, puis me rendis nerveuse, à prêt tout vu ce que j’allai en faire c’était bien normal. Mes doigts se fermèrent sur le bijou à m’en faire mal….


    Une fois tout ça finis j’attendis Aisu sur son lit. Mais pensées voguèrent d’elle-même vers ce moment où tout a commencé… Je me remémorais le bruit sordide de mes pats sur les pavés brisés, les hurlements lointains des loups et ma peur, celle horrible qui faisait battre mon cœur à un rythme effréné et s’entrechoquer mes genoux, celle qui faisait naître en moi des délire glauque, celle-là même qui faisait trembler à cette instant-là toutes les cellules de mon corps. Il faisait nuit, froids et je m’étais retrouvé là pour un stupide teste de courage au quel ma sœur m’avait trainé alors que une fois là-bas elle n’avait même pas daigné me regarder. Je laissai échapper un juron et de la buée sortis de mes lèvres gelées.  Soudain je m’étais pris le pied dans je ne savais pas quoi et m’étais étalée sur le sol boueux. Avec frénésie j’essayai de me défaire de ce qui me retenais prisonnière quand je constatais que ce dans quoi j’étais prise était enfaite…


    -Mizu !!!


    Encore une fois Aisu m’extirpa de mes pensées avec un cri suraigu. Elle avait surgit de la salle de bain pour se planter devant moi toute belle dans son petit short en jeans et son débardeur à dentelle blanc et avec ses cheveux ramenés en une petite natte bien faite qui trônait sur son épaule. Elle m’aspergea une ou deux fois de parfum et pendant que je suffoquais elle saisit mon poigné et m’entraina vers la porte tout sourire. Je me dépêchais de saisir au passage mon béret bleu marin que je positionnais penché sur ma tête, ma veste en cuir noires que j’enfilais rapidement puis en un bond je rentrais dans mes bottines  blanche à lacets.

    Mais au moment où on allait  passer le bas de la porte, comme à son habitude elle me lâcha et s’écarta précipitamment. Je la suivis dans le dédale de couloir et  la laissa me lancer des regardes exaspérés, des insultes, des reproches à chaque fois que on rencontrés quelqu’un, non sans avoir le cœur serré et l’envie de m’enfuir à chaque fois, au lieu de ça je préférais garder un visage indifférent et un regard fixe vers l’avant.

    -Voilà Mizu !!!! Je te laisse là….


    Elle passa d’un gros sourire à un frisson. Je voulus faire un pas vers l’amassement d’arbre mais d’un coup un éclair blanc passa devant mes yeux et m’empêcha de me rapprocher de l’endroit où je devais aller. Sans la moindre inquiétude je tournais la tête vers Aisu. Sur son épaule était perché une magnifique et fière chouette au pelage blanc immaculé et au regard doré, ce bel animal que je connaissais bien semblait me fixer puis cacha sa tête dans la nuque de sa maîtresse qui partit dans un éclat de rire. Faisant remuer la mèche petite mèche qui cachait la moitié de sont front.


    -Ah !!! Fukuro arrêt !!! Ca chatouille !!!


    La main parfaitement manucurée de ma sœur se perdit dans le soyeux pelage du rapace. Je profitais de son moment d’inattention pour disparaitre au milieu des arbres, vexée qu’un animal aussi beau, affectueux et intelligent soit-il aie le droit à plus de reconnaissance que moi. La larme que j’avais retenue jusque-là colla silencieusement sur ma joue, bientôt suivit par des dizaines et des dizaines d’autres, mais cette fois si elles venaient du ciel qui s’était assombrit et qui semblait vouloir partager ma peine, sans savoir pourquoi je lui envoyai un sourire reconnaissant, même si je savais bien que ma sœur n’allait pas apprécier que je gâche son maquillage et sa coiffeur si méticuleusement fais.

    J’haussé les épaules comme pour me dire que ce n’était pas si grave et que je devais avancer alors j’avançais et sous mes pats les épines des pins tombées à terre craquèrent, comme si je marchais sur un sol couvert d’os, je frémis et pressa le pas en proie à la peur. Mes cheveux à présent trempés ne me gênaient pas, disons que le bruit et le contacte de la pluie me rassuraient. La clairière n’est pas loin, voilà ce que je ne sassais de me répéter intérieurement en repoussant des branches mouillées de toutes sortes qui me bouchaient le chemin. Effectivement je finis par l’apercevoir après quelques minutes qui me paraissaient des heures. Je me dissimulais donc derrière un grand sapin tant disque  que mes yeux était en quête de……….lui.

    Ne le trouvant pas, je refermais encore plus ma poigne sur l’anneau d’argent. Une déception immense s’installe en moi, je voulais lui donner moi cet anneau avant qu’il ne part pendant dieux sait combien de temps…. Pour le remercier, car je n’en avais pas encore eus l’occasion, à chaque fois qu’il approchait je jouais madame glaçon ou l’hystérique de service…. Je n’avais jamais étais très douée avec les gens, contrairement à ma sœur très apprécié par tout le monde. La main n’enserrant pas le bracelet se déplaça sur l’écorce rugueuse du sapin, pour se rapprocher de ma poitrine dans un geste instinctif. L’averse s’amplifia alors que mon cœur se noircit, ce qui m’énerva au plus haut point. Pour quoi je me sentais mal pour cette brute ? Je finis par regarder impassible les Tenioenai  embarquer dans les grands et bas véhicules sombres accompagnés de professeurs de Majikku responsables de la section des Tenioenai. J’avais froid et faim aussi et je ne devrais pas tarder à partir si je ne voulais pas que ma chère sœur m’arrache les yeux.

    Au moment où je voulus rebrousser chemin je sentis un souffle chaud sur ma nuque qui me paralysa complètement. Ce fut ce moment que choisit mon esprit pour me rappeler toutes les  rumeurs sur la forêt Kuro et ses habitants. Mon sang se figea dans mes veines et mes poumons refusèrent d’accueillirent une bouffée d’air. Je ne parvenais pas à crier ni même à ouvrir la bouche, même ma magie refusait de répondre…


    -Encore toi…


    Un murmure, agressif, rauque, attirant sans le vouloir, intimidant…. D’un coup tout mon corps se détendit et répondit à mes besoins vitaux trop longtemps oubliés, en reconnaissant à qui appartenait cette voix. Je m’étais mis à suffoquer quel que secondes  pour combler mon manque d’air, puis enfin je compris réellement que signifiait le faite qu’il était derrière moi, la bouche si proche de ma gorge qu’elle l’effleurait, une main sur une de mes hanches prêt à m’arracher de mon arbre pour savoir ce qu’il voulait. Une main sur ma hanche, je me demandais bien qu’es ce qu’il se passait en moi à ce moment-là. Peur ? Haine ? Dégout ? Envie ? Un mélange de tout ? Tout autre chose ?

    Qui sait…. Malgré tous mes encouragements intérieurs, je ne parvenais pas à faire face, je ne pouvais tout simplement pas… Restait à espérer qu’il perdrait patience et me retourne de force. Ce qui, le connaissant, ne serait-ce que de vu, n’allait pas tarder à arriver.

    J’attendais tout simplement, trempais par la pluie que j’avais non-intentionnellement déclenchée, terrorisé par je ne savais quoi et la seule chose que je pouvais encore espérer c’est que j’arriverais à maintenir mon masque impassible, une fois devant lui et en proie à ses yeux destructeurs. L’averse déjà infernale s’intensifia encore. Sa main se resserra sur moi, je l’entendis grogner puis brusquement il me tourna vers lui, et me poussa contre le pin.


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  •  Chapitre 2.

      

    Je sentis mon cœur s’emballer, puis exploser en un million d’étincelles ardentes qui parcoururent les moindres parcelles de mon corps. Il saisit mon poignet, celui où plus haut reposé l’anneau, une vague de chaleur me submergea, et avec sa violence habituelle le plaqua au niveau de ma tête me forçant à reculer encore et à heurter le pin.

    Il l’enserrait si fort que tout mon bras me piquait. Instinctivement pour tenter d’échapper à son regard je baisais la tête tentant vainement de cacher mes émotions. Je me sentais bête, avec ma bouche béante et mon bras ballant, mais la chose me préoccupant le plus à cet instant-là, bien plus que le fait que son corps frôlait le mien, c’était ses yeux sur moi, turquoises et pleins de…folie, de rage, et de quoi ?


    -Je t’ai posé une question.


    Ses lèvres fines affichaient encore ce sourire sadique, on aurait dit qu’il était au bord de l’hystérie. Enfin, rien de très exceptionnel pour lui… Je me sentais tellement bizzard là, à cet instant… La pluie continuait encore avec la même force.


    -Je…hum…enfin…


    Ma voix tremblait c’était pitoyable, mais d’habitude je ne réagissais pas comme ça….. Il me coupa d’une traite son sourire mauvais s’élargissant encore.


    -Alors ?


    Mon masque vite…. Il serait trop heureux de voir de la peur en moi… Même si elle n’a pas vraiment l’origine qu’il aurait espéré. Ce que je  crains c’est……moi …Voilà ceux que je pensais avant de rassembler tout le courage qui me restait. Je relevais fièrement la tête est fis face, déterminée à ne pas montrer mes émotions !


    -Je suis venue t’apporter ça, dis-je d’un ton froid qui  me combla, tout en essayant de dégager mon bras.


    Soudain dans ses yeux je vis passer une chose étrange qui ressemblait à… de la déception, celle que on verrait dans les yeux d’un enfant au quel on prenait son jouet… Je continuais à me tortiller pour qu’il me lâche, ce qu’il finit par faire. Je ramenais mon bras contre moi, remontai légèrement ma veste et contemplais mon poigné, rouge.

    Sans je comprenne je fus prise par la déception, je ressentais comme un manque, si grand que j’avais envie d’éclater en sanglot. L’eau descendant du ciel décupla aillant comprit ma détresse. J’ouvris ma main et dévoilai le bracelet. Il semblait d’abord surprit puis déçut et enfin énervé. Une succession d’émotions qui disparurent bientôt englouties par son éternelle folie destructrice. Avant qu’il ne refuse mon présent je pris la parole en étant toujours impassible :


    -C’est un bijou qui appartenait à un puissant magicien, il accroit la magie de son porteur et s’en sert pour lui créer un bouclier permanant, pour résumer de la magie faible ne pourra pas te faire de dégât, j’ai pensé que ça pourrait t’être utile vu que vous allait affronter les gangues …


    Dis-je d’une voix assurée jusqu’au moment où ses lèvres se posèrent sur les miennes, bouillantes, il les pressa rageusement contre les miennes, tout son corps se retrouva contre le mien me collant au pin mouillé ses mains appuyées contre l’arbre m’empêchant de m’éclipser.

    Le bracelet m’échappa.

    Mon cœur rata un battement douloureusement puis commença une course effrénée. Son baiser était sans le moindre sentiment, il était juste rage, colère et folie et le sentir me brisa. Un million d’émotion dansèrent en moi alors que pleine de stupeur je ne savais que faire alors que la violente averse devint un vrai déluge de larmes chaudes.

    Puis il s’écarta rompant se moment qui me semblait le pire que je n’ai jamais vécu. Mon désarroi était si grand que je ne pouvais pas réfléchir, ni même esquisser un mouvement je ne pouvais plus que me laisser entrainer par l’avalanche de sentiments qui me submergeaient et m’étouffaient alors que mes jambes s’aidèrent sous ce poids écrasant.

    Je voyais ma vue se brouiller, sentais mes larmes dégouliner alors que mes yeux  écarquillés restait bloqués sur une expression de stupeur et de tristesse. Je me sentais souillée, salle, meurtrie. Je ne parvenais pas à enregistrer quoi que ce soit que mes sens me rapportaient. Ma tête tournait, mon cœur transperçait par mille et un poignards ardents, me faisait souffrir à en perdre la raison. Puis je commençai à émerger légèrement, en tout cas suffisamment pour entendre ses paroles :


    -Voilà l’expression que je voulais lire dans tes yeux.


    Ces mots empreints de satisfaction malsaine me firent l’effet d’une baffe monumentale. Je l’entendis se baisser, j’eus un mouvement brusque de recule craignant qu’il ne revient à la charge, mais je me trompais, le cliquetis qu’émit le bracelet quand il le ramassa m’était tellement familier que je ne pouvais me tromper… Et avec dégoût et rage je le regardais impuissante s’écarter avec cet objet qui était bien plus pour moi que ce que j’en avais dit.

    Car cet anneau était la dernière chose qui me restait de mes parents.

    J’avais fait une énorme erreur en lui donnant et le honte me serra la gorge. Je me sentais si bête, je voulais seulement le remercier pour m’avoir sauvé la vie il y a de cela deux mois. Mais je n’aurais pas dus le remercier.

    Ni chercher à le revoir.

    Et pourtant je l’avais fait, comme une pauvre idiote. Je n’avais pas écouté ma raison qui me criait de ne pas m’en approcher, me voilà bien punie. Et sans savoir pourquoi je me sentais dans  l’obligation de le scruter en détails, de mémoriser chacun de ses traits avant qu’il ne disparaisse, sûrement pour ne jamais oublier ce moment et pour garder ce méprit en moi à fin d’avoir la force de lui reprendre mon bien… 

    Sa chemise blanche était ouverte découvrait en torse nu parfaitement musclé et bronzé, de plus l’eau qui lui ruisselait dessus le rendait encore plus attirant, elle était également retroussée jusqu’au coudes. Quelques un de ses cheveux d’un turquoise clair relevés à l’avant lui tombaient dans les yeux, le rendant encore plus attirant et mystérieux… Alors qu’il avait tourné les talons et qu’il était déjà loin il se retourna et m’envoya un sourire satisfait qui me donna comme un goût amer dans la bouche et qui gonfla mon cœur de rancœur, de dégoût, de méprit et de haine. Les larmes ne cessaient de coulaient sur mes joues tout comme la chaude pluie qui me picotait la peau tellement elle tombait violement.


    -Raito… murmurais-je pleine de tristesse alors que mes larmes s’amplifièrent


    C’était la première fois que je l’appelais par son nom, Raito, Raito Arashi. Arashi, un prénom qui lui allait que trop bien car tel un orage il avait foudroyé ma vie et m’avais volé une chose capitale à mes yeux. J’effleurais mes lèvres souillées avec une douleur immense.


     Après son départ je me sentais vide, j’avais l’impression de n’être plus que l’ombre de moi-même. C’était fou, en un geste il m’avait complètement chamboulée. Et d’ailleurs après une éternité ou bien une minute je ne savais réellement pas, je ne parvenais toujours pas à bouger. Alors je me surpris à u repenser à ce moment maudit qui m’avais lié à lui.


    Ce dans quoi mon pied était pris n’était autre qu’un crâne luisant. Un déluge de sentiments me prit et je me mis à hurler comme jamais. Mon cri se répéta en éco. J’étais prise de la plus grande peur que je n’avais jamais ressentie. Puis je constatais que bien d’autres os jonchaient le sol. J’étais tellement paralysé par la peur que je ne parvienne même plus à laisser échapper un cri. Je restais la planter sans pouvoir ne serait-ce cligner des yeux. Mes jambes finirent par céder sous le point de ma terreur.


    Des pas se firent entendre, augmentant encore la peur en moi et faisant trembler tout mon corps. Un ricanement me parvint. J’avais veau tenter de chercher à qui appartenait ce rire je ne voyais rien il faisait bien trop sombre…


    Puis soudain des rayons de lune traversèrent   le feuillage et éclairèrent la scène d’une lumière fantomatique. Plus loin il y a avait un homme. Enorme il devait facilement faire deux mètres et il était battit comme une armoire à glace. Ses longs cheveux noirs collaient par le sang lui tombaient devant les yeux, ceux-ci dorés comme ceux d’un vautour affichaient une malveillance sans bornes, qui me glaça entièrement. Il avait un nez imposant et aquilin. Ses lèvres étaient craquelé et vers la droite une cicatrice immonde, remontant jusque sous son œil, les barraient. Son visage était légèrement ridé.

    Un profil qui semblait être fait pour terroriser.  Alors que la terreur se fit encore plus présente en moi un détail me choqua, sur son torse était un tatoue un loup bleu foncé. Le loup était le signe d’un des plus puissant gangue, les Okami et la couleur bleu signifiée qu’il était un lieutenant. Quoi que je fasse je ne pourrais rivaliser, mes pouvoirs ne se sont réveillé que depuis six mois et l’eau n’était pas vraiment très dangereuse… Des sueurs froides dégoulinèrent le long de mon dos alors que tout mon corps tremblait, se basant sur les rapides battements de mon cœur.

    Et je pus également constaté que les cadavres jonchant le sol était tous d’ancienneté différente et le plus récent que je pus apercevoir ne devais pas dater de plus de deux jours.  Le colosse s’approcha et sourit.


    -Je m’absente cinq minutes et voilà qu’un petit oiseau tombe dans mes filets !


    Sa voix était rauque et brutale. Il s’approcha encore et saisis mon menton alors que des larmes commencèrent à couler de mes yeux. Il approche son visage, plongea son regard de râpasse dans le mien et quand il chuchota son alène futile m’envahie
    .

    -C’est que elle est mignonne la p’tite. Je vais bien m’occuper de toi avant de te tuer ne t’inquiète pas…


    Il posa une main sur ma poitrine et je compris enfin ce qu’il entendait par là.

    Je ramenais une de mes main sous devant mon menton, tendue vers le haut et je ne sais où je trouvais la force d’envoyer un jet d’eau brulant dans la tête de mon assaillant.

    Celui-ci posa un cri et tapa dans ma jambe libre avant de faire un bond en arrière. Je ne demandais pas mon reste et me mis à ramper sachant très bien qu’essayer de me relever étais une perte de temps. L’homme cria :


    -Tu crois que tu vas pouvoir t’en tirer salope !


    Je sentis une chaîne entourer mon coup et me tirer vers ce monstre. Un sourire fou transperçait son hideux visage. Je ne parvenais plus à respirer. La chaîne était trop serrée et j’avais beau tirer dessue je ne gagnais pas un millimètre, au contraire elle se resserra.

    Il ricana. Un éclair transperça soudainement le ciel et frappa l’épaule de mon assaillant. Je suffoquai. Avec stupeur je vis un homme aux cheveux turquoise apparaître entre moi et l’homme aux yeux jaunes. Je ne reconnus pas cette personne. Une voix s’éleva pleine de folie meurtrière et d’amusement :


    -J’ai bien fais de venir, je vais bien m’amuser !


    Le noir remplit mes yeux.


    Quand je m’étais réveillé j’étais à l’infirmerie de Majikku et Mlle Kaigo m’appris qu’un Tenioenai nommé Raito Arashi m’avais sauvé la vie et elle me sermonna me demanda ce que je faisais dans un endroit si dangereux mais je n’écoutais pas, hypnotisée par ce nom.  Je le connaissais trop bien. Tout le monde le connaissaient…

    Soudainement un éclair rouge passa devant mes yeux ahuris me sortant mes souvenirs glauques.

    Désolée pour le retard mais j'ai dus recommencé un bout et j'ai changé la structure du chapitre alors voilà!


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    Les règles du jeu :

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    Questions d'Enialine:

    1) Plutôt anime ou bouquins ?

    Les deux!!!^^

    2) S'il ne te restait plus que 10 minutes a vivre , que ferais-tu ?

    J'irais dans la mer mourir bercée par les vagues... 

    3) Fairy Tail ou Magi ?

    Fairy Tail!!!

    4) Lucy ou Juvia ?

    La question ne se pose même pas u-u!!! Juvia

    5) Plutôt chaud ou froid ?

    Hum ça dépend!!!^^'

    6) Si un de tes personnages de manga favoris arrive devant toi , comment réagis tu ?

    Hum je lui sauterais dessus!

    7) Si tu devais choisir entre ton ordinateur et tes amis , qui choisirais tu ?

    Mes amis!

    8) A quel personne de manga t'identifie tu le plus ?

    Hum... Kilari! Je suis une goinfre, une gamine, j’idolâtre mon chat, je sais pas coudre, (très) souvent je suis geugeu et dès que je suis en présence de quelqu'un que j'aime ou qui m'aime je suis toute timide(je le suis avec toutes les personnes avec qui je ne suis pas à l'aise et il me faut du temps pour l'être) et je me fais facilement des aimes!!! Voilà!

    9) Es-tu : en primaire , au collège ou au lycée ?

    collège!

    10) Aimes-tu le Japon ?

    Oui!!

    11) (attention question crucial) as tu aimé mes questions ?

    Ouais ça va!

    Questions de Saku-chan-sama:

    1) Pourquoi t'es-tu inscrit(e) sur Ekla ?

    Pour mettre ma fic!

    2 : Quel est ta couleur préféré ?

    Le turquoise!

    3 : Pratiques-tu un sport ?

    Oui!!!

    4 : Si oui lequel ?

    La natation depuis 5 ans

    5 : Chat ou Chien ?

    Chat sans hésiter!

    6 : Si je te dis " étoile " a quoi penses-tu ?

    A Fuko dans clannad!

    7 : Que penses-tu de l'amour ?

    Que ça doit être une chose merveilleuse qui malgré les douleurs que elle peut causer doit être merveilleuse!

    8 :  Plutôt chaleur ou froideur ?

    Je sais pas!!!

    9 : Quel pays voudrais-tu visité ?

    Le Japon pour ma lune de miel!!!xD et hum l'Island!!!

    10 : Quel pays as-tu déjà visité ?

    La Croisie, le Corse(je sais c'est pas un pays!), l'Allemagne,La Slovénie, L'Espagne et L'Italie!

    11 : As-tu aimé répondre a ces question ?

    Oui!!!^^

    Mes questions:

    1) One piece ou Bleach?

    2) Tu préfère un(e) meilleur(e) ami(e) avec qui tu ris tout le temps ou à qui tu peux tout dire?

    3) Si tu devais te suicider ça serait comment?(la question pourrie!)

    4) Si tu pouvais remonter dans le temps, ça serait quand et où?

    5) La personne qui compte le plus pour toi c'est qui?

    6) Si tu pouvais rendre un perso d'anime réelle ce serait qui?

    7) Si tu pouvais aller dans un livre, un film, un manga ou une série ça serait le quel?

    8)Tu préférerais maitriser quel élément?

    9)Si une grenouille de demande de l'embrasser tu fais quoi?

    10) Si tu gagne 1 milliard d'euro tu fais quoi?

    11) Ton oppening préféré dans Fairy Tail ou Bleach?

    Je tage: Tiara, Overdose, SweetyHeart, Honney, Enialine, Aurora, mimikila, Kamilou, kilari-révolution, Ayumi-chii, Muyiki.

     

     

     


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  • Chapitre 3

        

      Je reconnaissais très bien ce type aux cheveux rouges en pétard qui passait devant moi, Aka Raimu. Sans pouvoir m’en empêcher  je me mis à crier, la voix briser :


    -Aka-kun !!!


    Son nom résonna un moment et moi je regrettais bien vite mon geste. Aka-kun et moi étions amis par le passer. On pourrait même dire qu’il était mon meilleur ami, mais alors que nous avions que huit ans il avait soudain disparut. Bien plus tard, suite à un événement tragique ma sœur et moi avons rejoint Majikku, cinq ans après lui pour être précise, je compris alors que c’était car Aka-kun était un Seiygo naît d’un Tenioenai et d’une humain.

    Son père était mort, tué par un le chef d’un gang qu’il était partit exterminer, alors que sa mère le portait dans son ventre, et son père n’a jamais eu l’occasion de lui expliquer qui il était en réalité, voilà pour quoi il était allé si tard à Majjiku.

    Mais quand on s’est retrouvé il… ne me regardait  même plus, sûrement à cause de ce qui est arrivé à Aisu, l’évènement était si grave que toutes les personnes dotées de dons, dites les Ijona, au Japon avait dû en entendre parler… J’avais tenté de scellé cet événement dans ma tête, je ne voulais plus jamais y penser !  Tout était ma faute… La mort de notre mère. J’aurais pu l’éviter mais… 

    Je secoue vivement la tête comme pour que mes idées noires me laissent.

    Depuis ce jour entre ma sœur et moi ça n’avait plus jamais était pareil et je la comprenais tellement, je me haïssais moi-même. La couleur du sang se plaça devant mes yeux et mes mains me semblèrent couvertes de ce liquide rouge et poisseux. Je fis tout mon possible pour repousser tous ses souvenirs tellement douloureux et reprit le court de mes pensées…


    Mais malgré tout je restais attaché à Aka-kun, alors dans un moment de détresse comme celui-ci comment ne pas vouloir chercher du réconfort auprès de cet ancien ami. Aka-kun fit volteface, sa chemise blanche se décolla légèrement de lui à cet instant. J’avais toujours admirais son style, son haut col et sa chemise sans manche déboutonnée, un collier noir lui collait au cou. Tout pour mettre en avant ses muscles et son teint mat en .

    Il parut d’abord surprit puis ses sourcilles rouge se froncèrent, ses yeux noires d’habitude rieur se durcirent et je le vis serré les poings.


    -Que t’est-il arrivé Yuki.


    Sa voix était empreinte de colère. Mais malgré le fait qu’il se fâchait de me voir comme ça, l’entendre m’appelait par mon nom de famille alors que autre fois nous étions si proche me fis mal.


    -Trois fois rien…


    Je ne parvins pas à soutenir son regard alors que je lui mentais. Malheureusement je ne fis que creuser encore plus profond ma propre tombe, il me connaissait si bien.... Mais comment pourrais-je parler de ce qui s’est passé avec lui ? La pluie tombait toujours et elle me léchait doucement les joues.

    D’un coup il s’approcha de moi et cria la voix tremblante de rage:


    -Tu sais combien de fois je t’ai vue pleurer !


    -Hein ?


    Je risquais un œil vers lui est quand je vis ses yeux bouillants de colères je me recroquevillai encore plus contre l’arbre. Je sentais tout mon courage m’abandonner, je ne pouvais pas faire front et je ne pouvais plus me cacher derrière mon masque à présent réduit en cendre par l’incendie de sentiments qui m’avait ravagé, alors il ne me restait que la fuite comme échappatoire.

    Je murmurais incertaine tout en tentant tant bien que mal à me relever :


    -Aisu m’attend désolé mais je dois…


    Aka-kun me barra le chemin d’un bras dénudé, mate et musculeux.


    -Aucune fois, tu n’as jamais pleuré devant moi ! Et tu veux me faire croire qu’il ne se passe rien ! Il continuait de crier maltraitant encore mon cœur.


     Je me pris une gifle mentale. Son regard plein de haine, il me fit penser à celui de… Raito… Quand cette ressemblance me sauta aux yeux les souvenirs des derniers instants passés avec lui revinrent me submerger. Et sans pouvoir me retenir j’éclatais en sanglot.


    -Mais bordel il s’est passé quoi !


    Je me glissais agilement sous la barrière improvisée que formait le bras de mon ancien ami, sans qu’il puisse m’en empêcher, prise d’une envie incontrôlable de m’enfuir. Et je me mis à courir. Courir.

    Encore et encore. Je courus plus vite que jamais, ne voulant pas affronter son regard encore une fois, et puis il ne m’avait pas abordé une seule fois avant de me voir comme ça alors d‘où croyait-il que j’allais me confier à lui ! Avec agilité, malgré mon regard brouillé de larmes, je syonnais entre les arbres de toutes sortes et de toutes hauteurs. Des taches flous de toute les teintes verdâtres, voilà ce que je voyais. Le vent  vit voleter mes cheveux trempés et battait doucement mon visage.

    Mon cœur battait à mille à l’heure malgré ses nombreuses plaies béantes et sa lourdeur. Tous les muscles de mon corps me tiraient. Mes pieds martelaient le sol gorgé d’eau. A chaque pas ma jambes explosait et mes poumons de se ressaieraient, mais qu’importe !
    Après une course effrénée je finis par revenir, les poumons en feux, là où j’avais laissé Aisu.

    Mais rien, aucune trace d’elle ni de Fukuro, elle avait dut s’impatienter et partir, emmenant avec elle le sublime animal ailé, dédis-je le cœur lourd. Je n’entendais plus les pas d’Aka-kun derrière moi, ce qui me frustra et me rassura en même temps. Je décidais donc de me dépêcher d’aller en classe avant que l’épreuve ne commence.

    La porte se dressai devants moi, massive.
    Trois coups voilà ce que frappais et en une demie seconde Mme Ushi l’ouvrit brusquement dans quelques grincements sinistres. Son visage d’une pâleur cadavrique  légèrement ridés et pincé était tordu de colère et ses lèvres légèrement gercées et entre ouvertes laissèrent entre voir des dents jaunis qui grincèrent en signe de son énervement.

    De ses doigts crochus et glaciales elle me saisit le poignait et me tira à l’intérieur de la salle non sans enfoncer ses angles jaunis dans ma peau pale.


    -Petite insolente comment oses tu te pointer en retard et ne même pas t’excuser !


    Sa voix me fit le même effet qu’une craie grinçant sur le tableau. Et son allène futile m’asphyxiais alors que cette petite femme c’était pressée contre moi, ses yeux vicieux  de corbeau  plantais dans les miens.


    -Excusez-moi mademoiselle. Dis-je d’un ton impassible tout en soutenant son regard furieux sans la moindre provocation.


    Sans même que je m’en rende compte mes yeux se pausèrent sur la table que ma sœur partageait avec Aka-kun. Vide. Pas un siège n’était occupé. La panique m’envahi et je regrettai assis-tôt de ne pas avoir attendu ni même cherché Aisu. Je sentais les regards méfiants haineux ou dégoutés des autres Seigyo de Majikuu. Et les plaies de mon cœur qui avaient réussis à arrêter de couler laissèrent échappé quelque goûtes de sang. Mais je ne laissais rien paraître, car dans ma longue course j’avais eus le temps d’enfiler un masque nouvellement construit.  


    -Bien, si mademoiselle veut bien se donner la peine !


    Son ton était pleins de dégoût, d’ironie et de je ne savais trop quoi mais ça ne me plaisais pas. J’inclinais légèrement la tête et me dirigeais vers mon petit bureaux, vides lui aussi.


    Une main saisit mon poigné, elle était douce, d’une tiédeur si agréable, un touché qu’on sentait plein d’amour. Mon cœur se réchauffa doucement et je souris. Je levais les yeux et sans surprise, mais avec la plus grande joie dont je pouvais disposer à ce moment-là, je croisais les yeux de Zora. Un nom si doux, pour une fille exceptionnelle qui l’était bien plus.

    La voir suffisait pour faire naître un rayon de soleil dans sa journée. Dans ses yeux il y avait toujours une réserve inépuisable d’amour de bonté et d’espoir qu’elle mettait à la disposition de n’importe qui. Cette fille n’était que douceur et amour.  Elle me souriait, un sourire presque maternelle et fait pour le réconfort mais tout en gardant se côté doux. Ses yeux verts étaient en reflet de la grandeur de son âme et en un regard elle fit passer tellement de choses.


     Sur le sommet de son épaisse chevelure rousse se reposait une petite peluche d’enfant représentant un panda, celui-ci agita sa patte noire et blanche comme pour me saluer et me sourit ,un sourire rayonnant de petit enfant. Ce ne me surprit pas car le pouvoir de Zora était de créer des âmes et ce petit panda et sa première et son unique création, elle a mit longtemps à la faire naître car elle volait qu’il soit parfait et elle ne savait pas coudre.

    Je leur offris moi aussi un sourire qui je l’espérais ne laisserait pas paraître ma tristesse loin d’être oublié par la présence apaisante de Zora qui n’était autre que ma meilleure amie. Mais celle-ci avait déjà compris je le savais. Elle fixait sans trop d’insistance mon corps mouillés et le sommet de mon crâne. Ce qui m’étonna, je le touchais donc et constata la disparition de mon béret. Une légère tristesse monta en moi, j’y tenais à ce chapeau…

    Avec regret je fis mine d’avancer et elle lâcha mon poigné rompant le doux moment qu’elle m’avait faits vivre.  Je tirais la chaise de droite de la table juste derrière Zora et m’y assis.


    Puis soudain une plainte se fit entendre puis un

    « attend moi Raimu !! » sur aigu.

    On entendit des personnes courir bruyamment à des rythmes différents, ainsi qu’une fille éclater d’un rire cristallin et sincère.

    Puis la porte s’ouvra brusquement sur une Aisu rayonnante bien que trempée, ses cheveux argentés plaqués sur son beau visages, ce qui lui donnait un air de petit chaton mouillé qu’on voudrait à tout prit prendre dans ses bras pour le réchauffer , son haut en dentelle surement devenu transparent couvert par une chemise blanche sans manche, au haut col, qui ne laissait entrevoir que les rebord de son short et qui mettait en valeur sa poitrine généreuse,  le sourire plein les lèvres, les yeux fermés de bonheur, suspendu au bras mats, dénudé et musclé d’un jeune homme qui la dépasser d’une bonne tête et demi, aux cheveux rouges en batailles, aux yeux noires rieurs et au trait encore un peu rond qu’il lui donnait un air niai, renforcé par le grand sourire, qui découvrait toutes ses dents, affiché par ses lèvres, dont le tors était complétement nu.

    Ce garçon n’était autre que Raimu Aka. Un oiseau d’un plumage blanc immaculé vient se poser sur l’épaule d’Aisu.


    Mme Ushi vient à leur rencontre des deux retardataires un énorme sourire sur le visage.


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  • Sujet: Vos devrez écrire sur au moins 5 persos de Fairy Tail qui pour une raison que vous trouverait se retrouve dans le monde de Bleach ou de One piece (pour one piece je n'en suis que au moment où Zoro affronte un préla sur l'île céleste alors ou vous prenez pendant ce moment ou avant ou encore vous inventez une histoire mais sans compromettre la suite, mercieuh!!!!^^) Après avoir affronter un ennemi commun les gens du monde de Fairy Tail( n'importe qui même les méchants et des gens qui aurez normalement rien à faire ensemble) doivent rentrer chez eux et le couple que vous aurez formé entre temps devra se séparer et le ferra ou pas!!! Bien sûr il y en aura un de chaque monde, le couple peut être hétéro ou homo!!!

    A oui et pour que tout ça me plaise dans votre one-shot il devra au moins il y avoir quel qu'un de cette liste comme un des perso principale: Juvia- Grey-Léon-Rogue-Orihime-Ulquiorra-Toshiro-Soi Fon-Shuei-Yatshiru-Grimmjow-Zoro-Vivi-Tashigi-Sanji.

    Tu peux l'accompagner d'images et de musique!!!

    Et pour les 5 Persos de Fairy Tail ne me mettez pas tous les cinq principaux car j'apprécie l'originalité!!!(vous êtes pas obligé)

    Récompense: Secret professionnel.

    Condition d'inscription: Aucune!!!

    Candidat(e)s: SweetyHeart♥♥/monde de one piece

    Voilà!!!!^^

    Et pour info demain je sors le chapitre 9!!!^^


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